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18 août 2010

Sharp Objects

Gillian Flynn "Sharp Objects" chez Phoenix.

J'ai lu ce livre dans sa version originale, mais il a été traduit et publié en français, sous le nom de "Sur ma peau" et est disponible sur Amazon.

Toujours à la recherche de nouvelles lectures, j'avais lu et vu chez mon critique littéraire préféré Gérard, une présentation du dernier roman de Gillian Flynn "Dark Places". J'ai alors cherché à me procurer le livre en anglais (je suis bilingue). Fait du hasard, le jour même je déjeunais avec une de mes meilleures amies qui me racontant ses vacances et ses lectures, me dit qu'elle l'avait lu et acceptait de me le prêter. Il sera donc en français. J'espère que la traduction est excellente, ce qui, croyez-moi n'est pas toujours le cas. J'ai rendu ainsi un livre emprunté à une amie au bout de deux chapitres, car la traduction était juste catastrophique.

L'histoire ne s'arrête pas là, en allant flâner dans mes deux bouquineries préférées nantaises samedi dernier, je tombe par hasard sur le premier roman de Gillian Flynn - en anglais de surcroit et en lisant la quatrième de couverture - je suis déjà accro. 2,50 € le bonheur !
De retour chez moi, j'ai fini de lire Métronome (critique à venir) et j'ai lu "Sharp Objects" en deux petits jours. (petits car il a suffit de 3 allers et retours en bus et d'une soirée chez moi).

Je viens tout juste de lire la première critique (j'avais sauté cette page), et bizarrement j'aurais pu écrire les mêmes mots :"a stunning debut novel Sharp Objects, a wickedly dark thriller that Stephen King calls a "relentlessly creepy family saga" and an "admirably nasty piece of work "- il avoue surtout avoir eu peur des 30 dernières pages mais n'a pas pu s'empêcher de les lire d'une traite, comme moi ! Comme dans un film d'horreur où l'on porte ses mains devant ses yeux, mais finalement on écarte les doigts pour voir.

Gillian Flynn signe un premier roman noir, doté d'une intrigue policière (qui avouons-le passe assez vite au second plan) pour se consacrer sur la famille très singulière de l'héroïne. Je ne mentirais pas en disant que si assez rapidement j'ai eu une idée, puis deux (l'identité du meurtrier, la maladie qui ronge la famille) la fin m'a quand même surprise. Sans doute parce que je lis trop, ou que je suis une accro de séries policières, j'ai compris certaines choses mais cela ne m'a pas freiné dans ma lecture, et j'ai dévoré les dernières 30 pages. Quel bien fou ! J'adore ça, tourner les pages, redoutant la fin prochaine d'un histoire qui me passionne mais trop curieuse de connaître la fin.

Enfin, j'ai aimé l'interview de la romancière (ici) qui explique pourquoi elle a toujours voulu écrire, et le résultat est là. Pas mal pour un premier essai.

Enfin, je ne suis pas tout à fait objective - ayant eu la chance de vivre dans le Sud des États-Unis (Tennessee) et de fréquenter des jeunes filles si belles, pensez Scarlett O'Hara enfermées dans des cages dorées, je ne peux que soutenir les propos de l'auteur.

Un dernier mot, la violence qu'elle fait subir à son personnage principal (l'emploi du pronom "je" ajoute à ce sentiment de gêne) me rappelle un peu l'écrivain Mo Hayder. Elle va loin très loin (scarification, sexe, etc.) et son roman est à lire absolument mais il n'est pas à mettre entre toutes les mains (enfin, j'ai lu "Christina, 13 ans" à l'âge de 11 ans. (Merci grand-mère qui l'avait chez elle et ne me surveillait pas assez).

Évidemment, je pars en vacances avec son deuxième roman - mon amie l'a lu et aimé (sans complètement y adhérer), je croise les doigts pour aimer la version française, et surtout ne pas être déçue par l'auteur.

4ème de couverture :
La ville de Wind Gap dans le Missouri est sous le choc : une petite fille a disparu. Déjà, l'été dernier, une enfant avait été sauvagement assassinée... Une jeune journaliste, Camille Preak, se rend sur place pour couvrir l'affaire. Elle-même a grandi à Wind Gap. Mais pour Camille, retourner à Wind Gap, c'est réveiller de douloureux souvenirs. A l'adolescence, incapable de supporter la folie de sa mère, Camille a gravé sur sa peau les souffrances qu'elle n'a pu exprimer. Son corps n'est qu'un entrelacs de cicatrices... On retrouve bientôt le cadavre de la fillette. Très vite, Camille comprend qu'elle doit puiser en elle la force d'affronter la tragédie de son enfance si elle veut découvrir la vérité...

Book description :
This impressive debut novel is fueled by stylish writing and compelling portraits of desperate housewives, southern style. Troubled newspaper reporter Camille Preaker is sent back to her Missouri hometown in a bid to get the inside scoop on the murders of two preteen girls--both were strangled and had their teeth removed. Almost as nasty as the brutal crimes are Camille's twisted family dynamics. She intends to stay with her zombielike mother, whom she has hardly spoken to in 8 years; her cipher of a stepfather; and her twisted, overly precocious 13-year-old half sister. Wading back into the insular social dynamics of the town proves to be a stressful experience for Camille, a reformed cutter whose body is riddled with the scars of words such as wicked and cupcake. In a particularly seductive narrative style, Flynn adopts the cynical, knowing patter of a weary reporter, but it is her portraits of the town's backstabbing, social-climbing, bored, and bitchy females that provoke her sharpest and most entertaining writing. A stylish turn on dark crimes and even darker psyches. Joanne Wilkinson

16 août 2010

Holiday

Encore quatre jours et enfin les vacances ! J'en ai marre de bosser, enfin de vouloir bosser, car les gens absents vous empêchent aussi de travailler. Tout tourne au ralenti, et moi ça ne me va pas du tout. Si je suis au boulot, c'est pour bosser, et parfois buller, ce qui est cool - quand on vole ce moment-là, pas quand c'est devenu la normalité. Internet c'est bien, mais quand on passe au minimum 6 heures par jour devant, ça devient rapidement rébarbatif, de plus à mon boulot l'accès est très limité, pas de réseaux sociaux, de Youtube, nada. Vive wikipedia. J'apprends l'histoire de la Hongrie, la vie de Lucien Ginzburg, le gratin aux fruits. Je deviens folle.

Mon ancre : savoir qu'il est là, mon livre du moment au fond de mon sac, je n'ai qu'une envie, le sortir et le dévorer. Alors, je revis une fois dans le bus, je lis, donc je réfléchis, donc je pense, donc je suis.

Allez, je ferme les yeux, et samedi prochain, au programme :


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Sans oublier :
et surtout plein de séances de







Bon je ne vous oublie pas, mais c'est un mal pour un bien. Mais le lion devient fou dans sa cage.

Alors bonnes vacances à ceux qui y sont encore, ceux qui comme moi partent tardivement et ceux qui ont décidé de ne plus revenir.

Soon, I will be on holiday. In France, everyone is on vacation either in July or August, actually most of the people are back working, and I am still waiting for my vacation. It's driving me nuts, this slow rhythm, the lack of rhythm. I'm sick of being at work with no job to do, I'm sick of waiting like crazy for a mission. I can't stand this atmosphere. Everything goes slow in August, too many people away. Idleness is nice, when it's actually stolen not when it becomes the routine. Internet is a cool way to idle, but when it turns to 6 hour a day - there's nothing cool left. Plus, no social networks, no Youtube here at work. Censorship is on. I'm losing my mind.
What's keeping me from jumping out the window is right here, in my bag. The book I'm reading on the bus, the only time I become normal again, I read, therefore I think, therefore I am. Simple, right ? If I close my eyes, that's where I see myself within a week : drinking nice cocktails, my feet playing in the swimpool, a nice book by my side, my favorite music playing and many movie nights.

I'm not saying goodbye to that blog - but it has become urgent - the lion is going nuts in his cage. So I sincerely hope the people on vacation are having a blast, as will the late bloomers like me, or the ones who have decided not to ever come back from holiday. Bless ya all :)



Crappy video I know ... but the outfits and the haircut crack me up ;)


すぐに、私は休日になります。
と、私はまだ私の休暇を待っているフランスでは、誰も が休暇中に、実際に人々のほとんどが戻って取り組んでいる。それは私にナットを後押ししている、この遅いリズム、 リズムの欠如。私は仕事では仕事にされての操作を行う病気、私は狂っ たようにミッションを待っている病気です。私はこの雰囲気に耐えられない。すべてが遅い8月に、すぐ近くに人が多すぎるに行く。怠け癖は、いいとき、それは実際にそれがルーチンにな ることが盗まことだ。インターネットはクールな方法アイドル状態に、しか し、それは6時間日 - そこには何も残って冷却だに変わりです。さらに、社会的なネットワーク、ないYouTubeの お仕事で。検閲はしています。私は私の心を失っている。
どのようなウィンドウが飛び出しから私をつけてここ に、私のバッグです。私はバスに読んでいる本は、時間だけ私は再び通常、私 が読んで、従って私は思うので、私はなる。簡単でしょ?私は、ここで私は1週間以内に参照してください:素敵 なカクテルを飲んで、私の足はswimpool、私の側でいい本の中で遊んでいる私の目を閉じれば、私の好きな音楽の演奏、多くの映画の夜。

私はブログに別れを - それは緊急になっているとは言わないよ - ライオンは自分のケージの中に夢中になっている。だから休暇の人々はそれを楽しんでほしいとする私のよ うな後半ブルマ、またはこれまで戻って休暇から来ていないことを決定したもの。ブレス屋のすべて:)

15 août 2010

L'épreuve

En faisant un peu de tri dans ma bibliothèque, j'ai retrouvé un de mes livres préférés, que je n'ai pas mentionné dans le questionnaire ou dans ma page dédiée aux livres. Pourtant, des années après sa découverte, j'en garde un souvenir intact. Il ne s'agit ici ni d'un roman, ni d'un thriller mais d'un témoignage. Son auteur est malheureusement décédée l'an dernier, à l'âge de 48 ans. J'ai retrouvé sur le web un article publié juste après, il raconte bien la vie très courte et très intense de l'auteur, qui a vécu une histoire extraordinaire mais finalement ne s'en est jamais complètement remise.

Béatrice Saubin était cette femme. Son enfance aurait pu faire l'objet d'un roman, sa vie d'un film. Isabelle Adjani devait d'ailleurs l'interpréter mais bizarrement le projet fut abandonné.
Fille d'une prostituée et d'un militaire qui ne fit que la reconnaître, Béatrice fut élevée par une grand-mère acariâtre dans un tout petit appartement (elle ne supporta jamais l'exigüité d'un lieu) de banlieue. Rêvant de liberté, de richesses, elle partit dès l'âge de 16 ans.

"Me faudra-t-il monter sur les épaules d'un gardien ? [?] Ou faudra-t-il me traîner, me lancer telle une balle coincée ? Le bruit des vertèbres brisées monte-t-il en un flot de sang dans la bouche, d'où pend une langue bleue ? [?] Je ne veux pas mourir. Voilà ma seule vérité. Mon unique hurlement."

Béatrice Saubin a écrit le livre dont je vous parle ici (elle en a écrit 3) "L'épreuve" à son retour en France, après 10 ans d'incarcération en Malaisie. Première française condamnée à mort en 1982, à l'âge de 20 ans (arrêtée en 1980 à l'aéroport avec une valise dont le double fond contenait de l'héroïne), sa condamnation à mort provoqua un véritable tollé en France et une pétition réunissant intellectuels, écrivains et acteurs, ainsi que l'acharnement de son avocat réussirent à transformer la sentence en prison à perpétuité. Finalement, après avoir passé plusieurs années en prison, les autorités malaisiennes la libérèrent, à un moment où elle s'était enfin appropriée sa vie, sa situation. Elle avait lu, enseigné à compagnes de cellule, aimé, créé un véritable potager, dans cet enfer elle s'était construite une vie, enfin.

A son retour en France, son livre connut un énorme succès et elle se perdit dans le tourbillon de la vie, des mondanités en refusant obstinément d'aborder à nouveau son histoire. Elle a écrit deux autres livres, puis la maladie (l'anorexie et l'alcoolisme) l'ont malheureusement poussés vers une fin précipitée.
J'ai toujours été abonnée aux bibliothèques, mais je vais très rarement à celle-ci, la Manufacture. Pourtant c'est là, qu'il y a une dizaine d'années j'ai trouvé son livre. Trop jeune à l'époque de sa condamnation, j'ignorais son histoire. Mais j'ai dévoré son livre, et j'aurais vraiment aimé la rencontrer. "L'épreuve" est un véritable témoignage de la rage de vivre d'un être humain, et une magnifique leçon de l'évolution d'un être humain vers la sagesse.

Si j'étais enseignante, son livre serait au programme. En fuyant sa condition de fille pauvre et paumée en France, elle s'est finalement trouvée à l'autre bout du monde. Et aura su plus tard mettre des mots dessus. En apprenant sa mort soudaine, j'ai retrouvé livre et je l'ai relu l'an dernier. Il n'a rien perdu de sa force, avec le recul, je pense qu'elle a laissé une grande partie de son âme là-bas en Malaisie. J'espère qu'elle est enfin apaisée.

Finalement, il n'y aura pas eu de film, mais une autre histoire, elle, fut portée à l'écran et témoigne de l'enfer des prisons asiatiques, "Loin du Paradis" (ou "Return to Paradise") - Il y a eu aussi un film sur le même thème intitulé "Brokedown Palace" ("Bangkok aller simple" en v.f) mais je préfère le premier avec un Vince Vaughn magnifique.

L'arbre

Hier soir, avec une amie je suis allée voir "L'arbre" et j'ai passé une excellent moment. Une infinie sensation de bien-être à la sortie du film, la bande-originale était excellente et je ne me lasse pas de réécouter certains titres. Une histoire douce-amère, avec une excellente Charlotte Gainsbourg et un second rôle inoubliable : l'outback Australien. Si l'histoire est triste puisqu'elle traite du deuil (Dawn perd subitement son mari (l'amour de sa jeunesse) et se retrouve seule sans emploi avec 4 enfants)) elle laisse cependant un formidable sentiment d'espoir. L'actrice qui joue sa fille, prénommée Simone, est une révélation. C'est elle qui est persuadée que son père s'est réincarné dans l'immense arbre qui surplombe leur maison (un figuier) et va refuser de le quitter même lorsqu'il devient menaçant. L'histoire a parfois des accents de contes, les bruissements du vent, la colère des cieux mais étrangement on y croit. Dans ce pays, la vie est rude mais les gens sont vrais et les paysages à vous couper le souffle. A voir, et à écouter sans modération. Il y a surtout la musique de Cinematic Orchestra et le dernier titre qui vous prend la tête et vous empêche de quitter la salle de cinéma.

Le film est adapté d'un livre "Our father who hart in the tree" de Judy Pascoe que je vais sans doute acheter. Je n'ai pas envie d'en dire plus, juste allez le voir. Ma note : A.

To my English speaking friends: the movie was filmed in English, so go see it!
私の英語を話す 友人に:映画は英語でので、それを見に行く撮影された

Chatroom

Hier, j'ai vu le dernier film d'Hideo Nakata. Il raconte l'histoire d'un jeune homme suicidaire qui en créant une chatroom, va attirer d'autres gamins perturbés et tenter de de les détruire. "Chatroom" m'a laissé une drôle d'impression - c'est un film sur la détresse des adolescents, leur isolement et la fascination du morbide. La fin est violente, même si elle laisse un peu d'espoir (parfois la réalité reprend le dessus sur le virtuel).

Le réalisateur a souhaité réaliser ce film, suite à la vague de suicides au Japon, dont l'origine remontait à un chat sur Internet qui prônait le suicide comme unique solution au mal-être. Et à ce phénomène étrange des hikikomori qui s'enferment chez eux et n'ont plus aucun contact avec le monde extérieur pendant des années. Le manque de contact social et l'isolement prolongés ont un effet dévastateur sur la mentalité des hikikomori. Leur poste de télévision ou leur ordinateur devient alors leur unique point de référence.

Le personnage principal n'est pas le héros mais son opposé : un adolescent suicidaire qui se sert d'Internet pour évacuer sa haine et déverser sa colère sur d'autres gamins paumés. D'un point de vue visuel, le réalisateur a su mettre parfaitement en image ce monde virtuel des chatroom. J'ai beaucoup aimé le début du film quand on voit la création de la nouvelle chatroom par le personnage principal, il se retrouve dans un immense hôtel dont chaque chambre est une chatroom.
Le monde virtuel se mêle au monde réel, la tragédie en marche, ces adolescent vont devoir choisir entre le monde virtuel et le monde réel.

J'ai aimé le film même si parfois j'ai eu le sentiment d'être tenue trop éloignée par le réalisateur et puis on peut lui reprocher une certaine caricature de la souffrance (le père abandonne l'enfant, les parents préfèrent l'aîné). J'ai lu d'autres critiques, qui le trouvent peu réaliste, sous prétexte que ceux qui fréquent l'hôtel sont des détraqués ou des pervers mais c'est faux. L'une des premières scènes montrent des gens au tout à fait normaux (Jim est celui qui a l'air le plus perturbé) de plus les personnages principaux représentent pour moi de véritables adolescents.

Enfin, j'ai trouvé le casting impeccable, particulièrement Aaron Johnson (le rôle principal) et le lieu est bien choisi (particulièrement le marché où le jeune Peter se connecte). Ma note : C+

Yesterday, I saw the last film of Hideo Nakata. It tells the story of a young suicidal man creating a chat room, who will attract other lost kids and try to destroy them. "Chatroom" left me a strange feeling - it's a film about the plight of teenagers, their isolation and a morbid fascination. The end is violent, even if it leaves a little hope (eventually reality takes will take over the virtual).

The director wanted to make this film, after the wave of suicides in Japan, which originated in an internet chat that advocated as the only solution to ill-being: suicide.
And the strange phenomenon of hikikomori who shut themselves in their homes and have no contact with the outside world for years. The lack of social contact and isolation have a devastating effect on the mentality of the hikikomori. Their television or computer becomes their only point of reference. The main character is not the hero but its opposite: a suicidal teenager who uses the Internet to vent his hatred and pour out his anger on other kids. From a visual point, the director has been able to visualize this virtual world. I loved when the movie starts and we see the creation of the new chat room by the main character, he finds himself in a huge hotel where each room is a chat room. The virtual world mingles with the real world, the tragedy in motion, these youth will have to choose between the virtual and the real world. Finally, I found the casting really good, especially Aaron Johnson (lead role) and where the action takes place (especially the strange market where the young Peter usually chats).


昨日、私は中田秀夫の最後の映画を見た。これは、若い自殺男部屋、誰が他の失われた子供たちを誘致することにし、それらを破壊しようとするとチャットを作成するの物語。

主人公は主人公が、その逆:彼の憎しみを発散し、他の子供たちに怒りをぶちまけるインター ネットを使用して自殺10代ではありません。視点から、監督はこの仮想世界を可視化することができました。私は、ムービーの開始し、我々は新し い主人公によるチャットルームのcreationを参照してください、彼は各部屋には、チャットルームをさhugeホテル自身をfinds loved。実世界と仮想世界の混ざって、動き の悲劇は、これらの若者が、現実の世界仮想の間で選択する必要があります。

11 août 2010

Jessica Lange

Comme je l'ai déjà précisé, j'adore la photographie. C'est une passion qui me guide depuis plusieurs années. J'ai découvert de grands photographes qui m'ont inspiré par leur talent, leur travail et leur passion.

Jessica Lange, célèbre actrice est aujourd'hui une photographe renommée. Elle expose actuellement ses œuvres en France à Saint-Rémy de Provence. Elle a débuté il y une vingtaine d'années, et aujourd'hui se passionne pour le noir et blanc. J'ai vu plusieurs de ses films (King Kong, Le facteur sonne toujours deux fois, Tootsie, Music Box, Big Fish et bien entendu Frances). C'est une actrice talentueuse mais extrêmement discrète. On l'oublierait presque parfois, alors qu'elle est avec Meryl Streep, une des actrices les plus douées de sa génération. Qu'elle aime autant se cacher derrière un appareil photo (comme moi) montre bien qu'elle préfère être derrière la caméra, plutôt que devant. Fort heureusement pour le cinéma, elle sera quand même passée devant à plusieurs reprises.










Quelques photos de Jessica que j'aime :




















A gauche, Michelle Pfeiffer et Jessica (elles ont tourné ensemble dans "A thousand acres" en 1997 ) et son compagnon depuis 1982, l'acteur et dramaturge Sam Shepard.














Pour sa nouvelle carrière photographique, voici un petit extrait d'une entretien accordé au New York Magazine en novembre 2008, suite à la publication de son premier livre regroupant ses oeuvres :

Before King Kong, before the two Oscars, before the love affairs with Mikhail Baryshnikov and Sam Shepard, Jessica Lange was a square-jawed student of fine art at the University of Minnesota, taking an intro class in photography. There were any number of ways things could have gone from there, but they went like this: She fell in love with the friend of her photography professor, and he persuaded her to drop out of school in order to live la vie bohème in Spain and Amsterdam. “We made documentary films,” she says, “and then we came to New York. It was 1969.”

And as it was ’69, and as she moved to downtown Manhattan, there was an underground theater group (black turtlenecks, slender Capri pants), followed by a move to Paris in order to study mime. And then she was back in New York, being pursued by Bob Fosse and carried up the side of the World Trade Center by an outsize gorilla.

One can easily see how the photography thing just slipped away, eclipsed by life as a movie star. “I never gave it another thought,” she says, sitting in a back booth at Knickerbocker on University Place, where she’s just discussed the Times crossword—“Thursday? I can’t do Thursday!”—with another regular.

But about fifteen years ago, Lange’s longtime partner, Shepard, brought a Leica home from a movie set, and Lange was right back into it, mostly shooting her kids. (She has a daughter by Baryshnikov, and a son and daughter with Shepard.) “It was great,” she says of holding the camera again. She was living with Shepard in the Virginia countryside by then. Everything was idyllic, bucolic, domestic. “I’d go down into the basement after the kids were in bed,” she says, “put on some Al Green and Sam Cooke, and develop pictures.”

It’s not uncommon for performers to develop a love of another visual art. Witness this month’s W (photographs of Angelina Jolie by Brad Pitt), or similar work by Bryan Adams, Andy Summers, and Dennis Hopper. There’s something about the role reversal, about the safety of doing the watching instead of being watched, that must be liberating.

“It’s a great counterpoint to filmmaking,” Lange explains, “because it’s such a private, solitary experience. It’s like writing or painting; it’s something you can do on your own. Acting is a co-dependent art form, and the actor is not in control. And filmmaking definitely informs the decision to photograph something. I’m drawn to situations with a dramatic feel to them as far as lighting or backdrop or people’s presence, the way someone stands.”

About five years ago, Lange showed her work to Donata Wenders (Mrs. Wim), a photographer herself, who encouraged Lange to start printing, and thinking, bigger. Lange and Shepard, now empty nesters, were moving back to New York anyway, and so she started printing at a professional lab, and growing braver.

“I can describe acting in much more concrete terms than I can photography,” she says of the work. “But there’s something about presenting an image in black-and-white that’s so reductive in a way. It sort of eliminates all extraneous information.”

This week, a book of Lange’s photographs will be published by PowerHouse Books. The images in 50 Photographs are all black-and-white, shot mostly during Lange’s considerable travels as an actress and as a volunteer for charities in Russia and Africa, as well as in the northern part of Minnesota, where she still keeps a tiny house. There’s even one photo from the first roll she took with her Leica, while in Romania, fifteen years ago. They are overwhelmingly quiet shots.

“Showing them to people outside my family was a big step for me,” Lange says. “When I first showed them to [photographer] Brigitte Lacombe, she said to me, ‘Oh, Jessie. Why are you still so lonely?’ And I realized that I’m attracted to people in solitary situations that are evocative of lonesomeness.”


50 Photographs
By Jessica Lange.
Powerhouse Books. $60.















10 août 2010

Questionnaire livresque

J'ai trouvé ces questions sur le blog "Les lectures de Cachou" - questions qui lui avait été envoyées auparavant par une autre amoureuse des livres.

1/ As-tu déjà reçu un livre en cadeau ?
Oui, j'en ai reçu plusieurs à mon anniversaire il y a deux mois. Un livre ancien sur les grands acteurs du Hollywood des années 40 et 50 (j'adore ce cinéma). Un livre sur les héroïnes féminines au cinéma et un autre sur les photos contemporaines qui ont fait le tour du monde (je suis passionnée de photographie). Pour les livres (romans), j'en reçois peu car c'est moi qui les offre d'habitude.

2/ Lis-tu dans ton bain?
Non, car je ne prends pratiquement jamais de bain.

3/As-tu déjà pensé à écrire un livre?
Je pense que tous les lecteurs assidus y ont pensé. Moi j'ai toujours rêvé d'être écrivain, et je ne désespère pas de l'être un jour. J'écrivais beaucoup d'histoires adolescente (des nouvelles).

4/ Que penses-tu des séries de plusieurs tomes?
Je suis une bibliovore- dès que j'aime un livre, je vais avoir tendance à acheter tous les romans du même auteur - j'achète cependant peu de séries mais je n'ai pas peur des trilogies, ou des énormes romans. En fait, si j'adore ce que je lis, je peux lire plusieurs tomes sans problème.

5/As-tu un livre culte?
Oui - plusieurs en fait.
En premier, "Franny and Zooey" de J.D SALINGER. Je l'ai découvert lors de mes études d'anglais, après avoir lu "The catcher in the rye" ("l'attrape-cœur"), et depuis je le relis tous les ans. Je le redécouvre à chaque fois, je ne m'en lasse pas.
Et puis il y a "La petite fille au bout du chemin" de Laird KOENIG, même chose. Enfin "Pride and Prejudice" ("Orgueil et Préjugés") de Jane Austen.

J'ai également ces autres livres qui ne me quittent jamais. Une biographie de Montgomery Clift, un livre sur l'aviatrice Amelia Earhart et le roman "Friday Night Lights" de H.G BISSINGER et enfin "Breakfast at Tiffany's" et "In cold blood" de Truman Capote. Sans oublier "L'idiot" de Dostoïevski et "Blade Runner" de Philip K.Dick.
Ces romans sont rangés ensemble. J'ai cru devenir folle après un déménagement car je ne retrouvais pas ce carton. Certains ne sont plus publiés - donc j'y tiens énormément.

6/Aimes-tu relire?
J'ai répondu à cette question à la cinquième question, donc oui mais uniquement les livres qui m'ont passionnés.

7/Aimes-tu parler de tes lectures?
Oui, mais autour de moi, j'ai peu d'amis qui aiment en parler. Il y a deux amies qui lisent tout le temps avec qui je peux échanger et j'ai découvert récemment qu'une troisième amie lisait beaucoup mais n'en parlait jamais (mon autre amie et elle se sont découvert des goûts en commun pour les romans scandinaves). J'aime faire des déjeuners en tête-à-tête avec ces amies pour ne parler que de livres.

8/Comment choisis-tu tes livres?
Principalement en lisant les critiques dans plusieurs magazines, en allant dans les librairies, en regardant l'émission sur LCi avec Valérie Expert et Gérard, le libraire de Trouville, un vrai troublion mais qui m'a guidé vers de belles lectures. Mon premier réflexe lorsque je vais chez les gens est d'aller regarder leurs livres. Je note aussi tous les titres que mes amies ou collègues mentionnent. Et puis, j'ai aussi envie de lire le maximum de classiques, enfin parfois simplement en regardant les livres, la première et la quatrième de couverture me plaisent et cela suffit.

9/Une lecture inavouable
Sans doute les livres de Guillaume Musso - ma mère les achète, ils sont écrits en très gros caractères, font moins de 200 pages, je les lis en une seule fois, installée à l'ombre dans le jardin. Je ne lis pas les livres des "chick list", leur simple couverture me rebute. Mais j'ai lu Bridget Jones.

10/Des endroits préférés pour lire?
Mon lit et en avion (j'adore prendre l'avion, 12 heures de vol c'est génial) . Le transat dans le jardin ou sur une serviette dans un parc au bord de l'eau.

11/Un livre idéal pour toi serait
Un livre magique qui m'entraîne très loin, comme le livre de "L'histoire sans fin", ou "Princess Bride", dès que l'enfant commence à lire, il est propulsé dans une autre dimension. Ou comme mes livres préférés, je redécouvre continuellement de nouveaux aspects, des faces cachées. Si j'aime autant "Franny and Zooey", c'est que j'ai toujours l'impression que quelque chose m'échappe. Au cinéma c'est pareil, comme Inception qui demande une grande attention, je vais aller le revoir pour encore mieux le comprendre. J'aime l'apprentissage avant tout - un livre ou un film qui ne laisse aucune échappatoire, aucune autre fin ne m'attire pas.

12/Lire par dessus l'épaule?
Non, quelle horreur ! Je déteste lorsque les gens me regardent travailler, ou lire. Alors non, mais je ne peux pas m'empêcher de chercher à découvrir le titre d'un livre lorsque dans le bus ou le tramway, mon voisin est en train de bouquiner.

13/Télé, jeux vidéos ou livre:
Les livres. Je ne joue pas aux jeux vidéos, et à la télévision, je regarde essentiellement les films et documentaires (et séries) sur Canal + ou sur Planète. Mais le livre l'emporte haut la main, par contre j'adore le cinéma (le vrai), j'y vais toutes les semaines, et la photographie. L'art contemporain en général.

14/Lire et manger?
Je lis rarement quand je mange. Mais j'aime m'asseoir à la terrasse d'un café, boire une boisson fraîche en lisant un livre. Mais boire, ce n'est pas manger ?

15/Lecture en musique, en silence, peu importe?
En silence, ou encore mieux - au milieu de la nature, j'aime entendre les abeilles butiner, les oiseaux chanter, le bruit d'une rivière toute proche. J'en ai fait l'expérience quand j'habitais dans le Tennessee. Le livre me permet d'oublier le monde entier, même dans un bus bondé. C'est mon échappatoire.

16/Lire un livre électronique ?
JAMAIS ! Quelle horreur, moi qui aime tant l'odeur des livres, le toucher, j'adore acheter les vieux livres, ceux d'occasion, pouvoir tourner les pages. Comme le téléphone, j'ai un smartphone mais avec un vrai clavier, impossible d'utiliser un écran tactile.

17/Le livre vous tombe des mains : aller jusqu'au bout ou pas?
Moi qui lis depuis mon plus jeune âge, j'ai connu des périodes difficiles, au lycée où l'on vous force parfois à avaler des lectures indigestes. Aussi, je l'avoue sans problème - j'ai lu un seul chapitre de la "Chartreuse de Parme" de Stendhal - et je n'ai jamais réussi à le reprendre depuis. J'ignore pourquoi, j'ai lu Sartre et j'adore Dostoïevski. Il m'arrive assez rarement d'abandonner un livre, j'ai tendance à m'y accrocher car j'ai eu la surprise de découvrir un livre sublime après un premier tiers (une centaine de pages) de pur ennui - mais je ne me force pas. Il y a tant d'autres bons livres à lire !

18/Etes-vous pour le partage des livres ou préférez-vous avoir une bibliothèque séparée de celle de la personne avec qui vous vivez ?
Il m'est arrivé de perdre des livres, ou de les égarer donc bibliothèque séparée. J'aime les savoir ensemble (surtout mes préférés).

Enfin ma question : votre livre préféré lorsque vous aviez 9-12 ans ?
Pour moi, c'était les "Les quatre filles du Dr March" ("Little women") de L.M Alcott. Lu et relu (je voulais être Jo, évidemment elle voulait écrire et était un garçon manqué !).

NOTA BENE : Il y a deux ans, je suis retournée chez ma mère retrouver mes livres d'enfance, deux avaient disparu. J'ai retrouvé l'un d'eux, mais pas l'autre. C'était l'histoire d'un enfant qui trouvait une petite fille, apparemment tombée du ciel et prénommée Mo. Il décidait de l'aider et la cachait. Aucun souvenir de l'auteur, et des autres noms de personnages, mais dans ma mémoire l'action devait se situer en Allemagne. Si cela vous dit quelque chose !

My so-called life




Ce week-end, j'ai rendu visite à ma sœur. Elle a emménagé dans une nouvelle maison, à la campagne. Le dimanche matin, seule personne éveillée dans la maison, je suis allée profiter du jardin, sérénité absolue, seuls les trois chats de la maison m'ont suivie. Quel bonheur cet havre de paix, entendre les oiseaux chanter et voir les libellules voler.


This is week-end, I visited my sister. She's just moved into her new house, in the countryside. On Sunday morning, I woke up before everyone else and I went to sit in the backyard, an absolute bliss; only the three cats knew where to find me. I loved each minute in this peace haven with birds chirping and beautiful dragonflies flying everywhere.



これは先週 末、私は姉を訪問した。彼女はちょうど彼女の新しい家に、田舎の移動だ。日曜日の朝、私は皆の前に目が覚めた、私は裏庭に、絶対的な至福に座って行きました。のみ3匹の猫はどこ私を見つ けるために知っていた。私はこの平和の避難所の各分に追加しました。鳥の鳴き声は、どこトンボ。

De retour à la maison, j'ai emmené mon chien pour une promenade. Ce fut un week-end calme et agréable.

I came home afterwards and I decide to take my dog for a walk. It was a quiet and nice week-end.
私は家にその後来たと私は散歩に犬を取ることにした。これは、静かで素敵な週末だった。




07 août 2010

Lectures en vrac

J'ignorais si j'allais publier ou non mes lectures dans ce blog. Je lis beaucoup, tout le temps, j'enchaîne les livres et je ne m'en lasse pas (cf. ici). Puis j'ai découvert les blogs d'autres passionnés de lecture, de ceux qui s'empressent de sortir un livre de leur sac, ou de leur poche dès qu'ils ont cinq minutes devant eux, s'éclipsent dans un fauteuil pendant les interminables réunions de famille, s'évadent du bruit, des odeurs, du vacarme des transports pour se réfugier dans un autre monde, un monde fantastique où tout est possible. En trouvant ces autres passionnés, je me sens moins isolée. Mais je dois avouer que c'est aussi dangereux les blogs littéraires pour les addict comme moi, car ils transmettent leur virus - acheter toujours plus de livres.

Aussi, après avoir découvert "Les lectures de Cachou", je me suis empressée d'aller dans une librairie (de livres d'occasion) et quelle chance ! J'ai trouvé un livre que je souhaitais commander (en neuf) à 4 euros seulement... mais comme d'habitude, je ne suis pas repartie avec ce seul roman- mais avec 5 livres. Des regrets ? Non, il y a des classiques (toujours) et puis je suis bientôt en vacances , traduction : temps libre donc plus de livres à dévorer.
1. Gillian Flynn "Sharp objects" - traduit "Sur ma peau"
l'auteur dont je vais lire l'autre roman (cf. billet du 3 août)

2. Herman Melville "Four short novels" - je ne connais pas grand chose de son œuvre, il est temps !
3. Charles Dickens "Great Expectations" Oliver, David oui mais j'avais loupé celui-ci ;)
4.Karen Maitland "Company of Liars"
Celui que je souhaitais commander, j'ai hâte5.A.S Byatt "Possession" Très pressée de lire ce roman qui mêle tous les genres...

En cours de lecture :
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Autant je connais bien l'histoire américaine, russe et l'histoire européenne (vive la fac) autant j'avoue avoir peu de souvenirs de mes cours au collège sur Clovis, Clotaire, Pépin le Bref, Louis XIII... Lorant Deutsch arrive à m'entraîner dans la folie meurtrière des Mérovingiens, à replonger au temps des rois, et de sa ville de prédilection : Paris. Encore quatre aller et retour en bus, et il sera terminé.

Auteur : Lorant Deutsch "Métronome"

Lus ces derniers jours :Read those past few days これらの日を読 む
Mes habitudes ne changent pas, j'offre des livres pour pouvoir les lire juste avant - j'ai offert celui-ci à ma mère et je l'ai lu en cachette (pendant une absence inopinée de celle-ci qui avait commencé à le lire) . Ce n'est pas un thriller, ni un roman policier, mais un roman qui joue sur deux époques témoin d'une époque passée, de crimes inavoués, de secrets de famille. J'ai aimé ce livre, même si son rythme est parfois lent, il m'a fait voyager.

Auteur : Jesse Kellerman "Les Visages", titre original "Faces".

Une amie me l'a offert . Je connais Vladimir Fédérovski à travers ses autres écrits, ici il raconte l'histoire, et l'épanouissement de sa ville russe préférée : Saint-Pétersbourg, et les vies de Pierre Le Grand, Pouchkine, etc.
Ayant étudié le russe et la littérature russe, je me suis jetée dessus - mais il se présente plus comme un documentaire qu'une "biographie sentimentale", d'où une certaine déception. Mais la Russie reste toujours impériale !

Auteur : Vladimir Fédérovski "Le roman de Saint-Pétersbourg"

Un de mes dix livres préférés. Je le lis, et le relis depuis plus de vingt ans - sans m'ennuyer une seule seconde. Je l'ai volé à ma mère (voleuse !) - car je l'adore, il s'agit de cette édition, le mien est un peu écorné mais je l'aime encore plus. Je vais l'ajouter dans une page dédiée à mes livres préférés.
Il serait temps que je lise ses autres écrits !

Auteur : Laird Koenig "La petite fille au bout du chemin"
Titre original : "Little girl who lives down the lane"