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27 septembre 2011

The Ryan Gosling case


J'avais donc envie d'aller voir la comédie Crazy, stupid, love - retrouver Steve Carell, Julianne Moore et Marisa Tomei (trop rare) et les bonnes critiques avaient eu fini de me convaincre. Puis j'ai lu la critique de Papillote qui donnait non seulement son opinion sur le film, mais abordait le cas délicat de Ryan Gosling.

Fan de cinéma, je connais assez bien la filmographie de sieur Gosling. J'ai d'ailleurs revu récemment un de ses premiers films (il a une longue carrière, ayant appartenu comme Justin Timberlake au fameux Club Mickey),
Calculs Meurtriers - un thriller où il incarnait un jeune rêvant de commettre le crime parfait. J'ai revu le film avec plaisir, et j'avais aimé sa performance. Puis il a joué dans la comédie romantique de la décennie, The notebook (N'oublie jamais, traduction guimauve)- un film ultra romantique qui a fait rêver des millions d'adolescentes, et comme dans le précédent, il s'est amouraché de l'actrice (Sandra Bullock puis Rachel McAdams). Sans doute un peu échaudé par toutes ces jeunes prépubères, il a décidé de réorienter sa carrière vers des films indépendants.



Puis, avec Crazy, stupid, love, il s'est tenté à la comédie, et le résultat est plutôt bon. C'est une bonne comédie, la brochette d'acteurs a permis aux réalisateurs (j'avais beaucoup aimé leur film I love you Philip Morris) de retenter le duo comique (Jim Carrey et Ewan McGregor dans le premier et ici Steve Carell et Ryan Gosling).  Dans son billet, Papillote aborde le rôle de Jacob, interprété par Gosling. Pour ma part, je n'en ai pas retiré les mêmes conclusions.
Le personnage de Steve Carell se retrouve du jour au lendemain largué par l'amour de sa vie, Julianne Moore, sa femme depuis vingt-cinq ans. Venu noyer son chagrin dans un bar hype, il commence à observer le jeu de ce jeune loup, Jacob - tiré à 4 épingles, capable de repartir avec une femme différente tous les soirs. Étrangement, Jacob va décider d'apporter son aide au quadragénaire déprimé à coup de relooking et coaching et lui enseigner "Comment emballer une nana en trente leçons".

Papillote n'a pas trouvé Ryan Gosling crédible en séducteur, et n'a donc pas compris le choix du réalisateur. Pourtant blond (donc un bon point pour Papillote et moi), musclé, dressé à quatre épingles - il n'a pas réussi à séduire notre blogueuse "mémé". LOL. Mais, moi j'ai tout de suite vu dans ce personnage de Jacob une caricature comique du dragueur. Les réalisateurs, je le crois, se sont amusés à le ridiculiser. Ainsi, la scène du vestiaire, où il se tient nu devant Steve Carell assis, qui ne peut que voir la "chose" de son coach - avait pour moi le but ultime de détruire le mythe du dragueur.  Et je trouve que Ryan Gosling a fait du bon boulot, je pense réellement que son personnage n'était pas supposé mettre en valeur le tombeur de ses dames, genre George Clooney, mais bien de s'en moquer.  Sa musculature, son teint perpétuellement bronzé, sa technique ringarde de drague (au bar et chez lui) sont pour moi des éléments clés pour comprendre l'aspect comique du personnage. Et je rejoins là parfaitement Papillote, en disant qu'effectivement aurais-je croisé ce loustic dans un bar, j'aurais certainement beaucoup ri de lui ;)

Steve Carell and Ryan Gosling
Pour en revenir au film, il s'agit bien d'une bonne comédie relevée, épicée, et qui vous fera passer un bon moment (la scène décrite par Papillote sur l'annonce du divorce à son travail est excellente), mais elle reste politiquement correcte et très américaine, et diffère en ce sens de I love you Philip Morris qui abordait des thèmes plus controversés. J'avais adoré ce film, ici j'ai passé un agréable moment. A noter le jeu toujours parfait de Julianne Moore, et les apparitions de Kevin Bacon et Marisa Tomei, trop rares au cinéma ont emporté toute mon adhésion. Marisa Tomei ne vieillit pas, elle est toujours aussi fantasque et sexy. 

 Pour continuer sur la lancée des blonds, voici le prochain film de Ryan Gosling : Drive - à l'origine si je ne me trompe écrit pour le plus beau blond de tous : Steve McQueen (c'est à cause de lui que je suis tombée amoureuse des blonds). Malheureusement décédé trop tôt, le rôle a donc échu quelques décennies plus tard à la nouvelle coqueluche hollywoodienne.

Le film offre donc à Ryan Gosling un personnage sans nom (si si), cascadeur le jour à Hollywood, il joue les chauffeurs pour des braquages la nuit. Ses conditions sont claires, il travaille seul, et accepte d'emmener et venir chercher les braqueurs, en les attendant à la sortie (avec une durée maximale d'attente, tant pis pour les retardataires), sa conduite sportive leur permettant d'échapper à la police. Mais le destin va venir jouer son grain de sable. Il va croiser la route d'une jeune mère célibataire, interprétée par
Carey Mulligan (j'ai un peu le sentiment de la voir partout en ce moment) et malheureusement celle d'un mafioso qui va soudainement les entrainer vers les bas fonds.  Je ne peux pas en regardant la bande-annonce ne pas imaginer Steve McQueen dans ce rôle, lui qui aimait tant la vitesse aurait été parfait ! J'ignore si Ryan a les épaules assez larges, mais je compte sur lui pour me surprendre.


25 septembre 2011

The Ev3nt of the week


Aujourd'hui c'est dimanche et c'est Marilyn's day. Je suis toujours aussi étonnée et ravie de voir à quel point elle reste célèbre et adulée, cinquante ans après sa mort. Cette image appartient à son dernier tournage, qu'elle n'a pas fini (Something's got to give), elle y était sublime, elle avait retrouvé une taille de guêpe et malgré ses retards légendaires (elle avait été même virée du film mais reprise grâce à l'acteur principal), elle avait plein de projets, et n'était en aucun cas suicidaire. Une overdose médicamenteuse accidentelle, Heath Ledger allait malheureusement subir le même sort.

Depuis que j'ai mon iPhone, je ne peux pas m'empêcher de mitrailler mes chats, Bambou spécialement, car elle a le chic pour prendre la pose ! La voici aujourd'hui, allongée, la tête sur mon ventre - avec l'appli More Lomo, j'ai réussi à faire ce portrait. J'avoue que j'adore le résultat. J'utilise aussi Instagram, et pour créer de jolis encadrements, je suis fidèle à Picframe.   Aussi, n'hésitez pas à faire pareil, ça marche sur toutes les iPhone. Maintenant quand je vois le dernier Blackberry, je me dis que j'ai eu le mauvais numéro même si je l'ai vraiment aimé mon BB ! Moi qui suis férue de photos et de news, l'iPhone est arrivé au bon moment. Je bouge beaucoup, et il est devenu indispensable (en plus d'un bon livre).

Ah j'ai craqué - encore - pour un nouvel agenda, j'ignore comme je fais, mais je ne peux pas m'empêcher de trouver toutes les deux mois, un nouveau carnet de notes ou agenda qui me fait craquer. Cependant, j'ai vraiment besoin d'un agenda, car mes rendez-vous professionnels et personnels s'accumulent, et il m'arrive parfois de prendre deux rendez-vous à la même date (j'avais égaré mon agenda papier et je l'ai retrouvé ce matin, et surprise lundi prochain deux rendez-vous à 18h)  ;)
J'aime les agendas dont le cuir est un peu vieilli, et j'ai eu le coup de foudre pour celui-ci, j'aime aussi le lien marque page et l'élastique, car j'adore y glisser des papiers de toute sorte, la dernière page contient aussi une enveloppe pour y glisser des tickets ou reçus. Bref, toutes les raisons pour que j'aille un peu plus vider mon compte en banque ! Mais c'est bien mon sort, il ne commence qu'en janvier 2012 ;)


Sinon, Canal + a eu la bonne idée d'acheter les droits pour la série The Ev3nt, malheureusement comme l’excellentissime Flashforward, elle a été annulée au bout d'une saison. Cependant, en lisant des articles, la fin de cette saison offre un beau final et explique ce qu'est cet évènement (event). Donc, je vais continuer à la regarder - elle démarre au quart de tour, elle raconte l'histoire d'un groupe d'extraterrestres arrivés sur terre il y a soixante ans et maintenus au secret en Alaska, mais le nouveau président américain (Blair Underwood) décide de révéler leur existence au monde entier, sa décision va alors provoquer une séries d'évènements en chaine, et leur apprendre que des extraterrestres ont réussi à s'enfuir et vivent au milieu des humains. Pris au milieu de ce tumulte, un jeune homme et sa fiancé. On retrouve dans cette série des dizaines d'acteurs de séries américaines, Urgences, LAX, The Gilmore Girls... il faut donc se concentrer un peu au départ.

Je suis heureuse que la Coupe du Monde de Rugby 2011 ait lieue en ce moment, d'abord parce que je suis fan, c'est ma troisième coupe du monde et les matches sont vraiment excellents et que mon équipe préférée (je déteste le mot favorite, dérivé du mot anglais et pourtant je suis bilingue) les All Blacks gagne tous leurs matches ! Mais aussi parce qu'avouez-le, le programme télévisuel est vraiment pauvre, il y a bien quelques séries (dont L.A Law Order avec le beau Skeet Ulrich) pour nous faire passer le temps, car sinon je ne me retrouve pas dans tous ces jeux ou émissions de variété.

Et pour mon plaisir, une petite photo de Sony Bill Williams !



Enfin, je les ai sur mon iPhone (j'ai l'appli All Blacks), voici le haka que les All Blacks ont joué devant les Bleus samedi, il s'agit ici du Kapa o Pango créé spécialement pour les All Blacks (et qu'ils jouent occasionnellement depuis 2005) Les paroles sont les suivantes : 
All Blacks ! Laissez-moi ne faire plus qu’un avec la terre
C’est notre terre qui tremble !
Mon heure est arrivée ! Mon temps !
C’est ce qui fait de nous les All Blacks
C’est mon heure ! Mon temps !
Notre domination
Notre suprématie triomphera
Et nous irons très haut !
La fougère argentée
Les All Blacks !
La fougère argentée !




Bonne fin de dimanche et je vous parlerais prochainement de Crazy, Stupid Love et de ma dernière paire de chaussures achetée !

Restless

Il y a presqu'un an (le 26 octobre 2010) je vous avais déjà parlé de Restless, le dernier film de Gus Van Sant. Je vous avais bassiné avec l'adoration que je porte à ce réalisateur, et mon impatience pour voir ce film. Il aura donc fallu que je patiente presque onze mois pour enfin le voir ! Mais patience fut récompensée.

Restless porte bien l'empreinte et la signature de Van Sant, même si il aborde cette fois-ci un thème plus classique : une histoire d'amour adolescente. Évidemment il ne s'agit en aucun d'une version hollywoodienne d'un film d'ados boutonneux, férus de musique et de joints. Le réalisateur nous emmène dans le monde fantastique peuplé de fantômes du jeune Enoch, interprété brillamment par Henry Hopper, fils du regretté Dennis.  Inconsolable depuis la mort accidentelle de ses parents il y a quatre ans, le jeune homme vit renfermé, ne s'échappant que pour aller assister à des enterrements ou jeter des cailloux sur les trains, accompagné de son seule fidèle ami, un fantôme japonais kamikaze tout droit issu de la dernière guerre mondiale.  C'est lors de l'un de ces enterrements, qu'il croise le regard de la jeune Annabelle, jouée par Mia Wasikowska (Alice in Wonderland, The Kids are all right et Jane Eyre), le coup de foudre opère instantanément.

Tous deux deviennent vite inséparables, mais le bonheur d'Enoch s'effondre avec cette terrible nouvelle : Annabelle est en phase terminale (tumeur au cerveau) et n'a plus que quelques mois à vivre. En ayant vu la bande-annonce, j'avais un peu peur de devoir sortir les mouchoirs et pleurer tout le long du film, mais ce ne fut pas le cas.

Les adjectifs qui me viennent à la bouche sont : ode à la vie, beauté, jeunesse, espoir, éphémère, poésie, refuge, rêve. Restless en anglais a plusieurs significations, agité, inquiet, impatient, énervé. Enoch décide d'offrir à sa belle les plus beaux mois de sa vie, mais la réalité le rattrape, il n'a toujours pas fait le deuil de ses parents (plongé dans le coma, il n'a pas pu assister à leur enterrement et ne se pardonne pas d'être en vie) et devoir perdre le nouvel amour de sa vie ne fait que remonter en lui toutes ses tensions, mais Annabelle va réussir à l'accompagner, là où son fantôme kamikaze n'avait pas su le faire : à affronter la vie, la vraie et apprendre à l'aimer.



Ce film est une sorte de parenthèse, difficile de croire que ces deux êtres puissent réellement exister (les tenues d'Annabelle et Enoch sont exquises, empruntées aux années 20) mais on veut y croire. Gus Van Sant a choisi d'offrir au spectateur de l'espoir, de l'amour et une vision positive de la vie.  On reconnaît son empreinte au choix de laisser la caméra filmer les silences, peu de musique, peu d'actions. Le spectateur voit leurs vies à travers une petite lucarne, témoin d'une tranche de vie.

Les acteurs sont formidables, la soeur ainée d'Annabelle, Schuyler Fisk est aussi exceptionnelle. Pour son premier rôle, le jeune Henry Hopper assure ! Et quelle ressemblance avec son père, il y a des moments où c'est troublant, les yeux verts, le regard, le sourire, c'est comme si le choix de l'acteur avait été calculé. Ainsi, j'ai eu parfois l'impression que Dennis Hopper jouait aussi au fantôme en prenant possession pour quelques secondes du corps de son fils !

Mia Wasikowska est superbe, drôle, fraîche et porte bien le rôle de cette jeune fille, en phase terminale. Rio Kase est Hiroshi, le fantôme de ce jeune kamikaze qui accompagne Enoch depuis son réveil. Sa présence est lumineuse et son jeu tout en subtilité.

Je ne vais pas en dire plus, j'attends de pouvoir acheter le dvd - sinon foncez-y si vous voulez vous promener dans les rues de Portland et le monde d'un jeune homme un peu spécial, mais vraiment attendrissant. Gus Van Sant n'est donc pas encore prêt de me décevoir !

20 septembre 2011

I'm not dead


Blanche-Neige a toujours compté beaucoup pour moi, car lorsque j'étais enfant (il y a très très longtemps), toutes les héroïnes de Disney étaient blondes ! Impossible de m'identifier à elles, Cendrillon, La Belle au Bois Dormant, Peau d’Âne, etc. Et puis, le truc cool avec Blanche-Neige, c'est que non seulement un beau Prince Charmant l'attendait, mais qu'elle réussissait à se faire aimer de sept nains ! Quelques années après, Disney s'est finalement tourné vers les brunes : Pocahontas (je vous ai parlé sur Tumblr de ma relation particulière avec Pocahontas), Yasmine dans Aladin, etc. Et à la télé, il y avait les Cat's Eyes. Trop belles !

La rentrée a été, comment dire, précipitée ! Ce verbe est parfait, c'est comme si j'avais la taille d'un minipouss et que je tombais dans une énorme lessiveuse, je dois me battre pour survivre. Les réunions s'enchainent comme des machines, l'essorage est violent. Je m'absente deux heures en réunion, 39 mails m'attendent à mon retour, tous en attente de réponse, of course ! Donc, me voilà débordée, exténuée, déprimée, fatiguée, énervée, éreintée, et je crie à l'aide, que l'on m'envoie un, non deux minions !


Pour me faire du bien, je fais beaucoup joujou avec mon nouveau jouet, l'iPod. En plus de le trouver beau, si si je vous jure, j'en suis là - je suis contente d'avoir un blanc de surcroît, je fais donc ma pétasse au milieu de tous mes collègues et chefs, arborant le leur, couleur noire. Après une crise aiguë de jeux vidéos, surtout avec Scrat le héros de l'Age de Glace, je télécharge maintenant pas mal de podcasts, soit des émissions de radios (car je l'ai déjà avouée, je n'écoute jamais la radio, trois radios-réveil et aucune onde ne passe chez moi, à moins de l'écouter à partir de mon ordi et puis je hais la pub (à la télé aussi) autre raison de ne pas écouter la radio), soit des émissions enregistrées spécialement (vidéos), j'adore l'humour so British de Ricky Gervais par exemple. Mais je cherche encore de bonnes émissions à écouter pendant mon temps de transport.

Moi en pensant à ce monde étranger : la radio
Comme je n'écoute jamais la radio, je suis complètement nulle et iTunes propose des milliers de podcasts !  Alors aidez-moi à trouver les bons ! Là je me suis fait plaisir en téléchargeant toutes les interviews d'Amélie Nothomb par exemple. C'est bizarre, je ne suis pas fan de ces livres (enfin j'avais beaucoup aimé les premiers), d'ailleurs je n'ai pas lu les quatre derniers, mais j'adore la voir en interview, je ne la loupe jamais ! Je la traque, j'aime beaucoup la personne, sa singularité. J'aime quelqu'un assumer totalement ses tics et tocs. Vivre sa vie comme elle l'entend, elle me fait un bien fou. J'adore relire une interview qu'elle avait accordée sur sa manière de travailler, machinale, répétitive. Voilà, c'était mon coup de cœur du jour, j'adore Amélie et son chapeau.

Sinon, je m'amuse à prendre de jolies photos avec et hop Instagram leur apporte une touche spéciale, comme ici pour mon chat Bambou. J'avoue donc avoir trouvé plein de bonnes raisons pour vous ennuyer avec mon téléphone !


Dernière façon de décompresser, me balader sur Tumblr, qui m'apporte de belles images et de jolies escapades ! En voici deux que j'aime particulièrement pour aller m'endormir, l'esprit reposé.


Tout d'abord un sublime voyage onirique en Islande :


Et un hommage aux skaters, je suis accro à cette vidéo Sundown Syndrome de Riley Blakeway : pour la musique, l'image, la lumière, le montage, le thème (le skate), bref merci au réalisateur !! Cette vidéo me fait penser à un film que j'aime beaucoup, avec entre autres Emile Hirsch et l'apparition du regretté Heath Ledger, The Lords of Dogtown (2005) à voir absolument ! Ce film raconte justement les touts débuts du skate en Californie à la fin des années 70. Une perle.





Allez courage !  C'est presque mercredi !

12 septembre 2011

I'll be back, babe

Ces dernières semaines, je n'étais pas chez moi - occupée à enterrer un être cher, à en marier un autre, à revoir des fantômes, à me gaver de gâteaux alsaciens, à rêver d'un autre monde, puis je suis partie en formation, logée une semaine dans un temple du savoir au milieu de parfaits inconnus, devenus rapidement des amis de fête, de partage, de discussions sans fins.  Nous partageons les mêmes craintes et les mêmes attentes par rapport à notre job, qui nous confronte à la société, ce même job qui nous donne envie de crier mais nous oblige aussi à porter un baillon. 

De retour chez moi, de retour au travail, j'essaie de m'évader. Mais triste commémoration que ce week-end, ces images en boucle, ces témoignages effrayant puis fort heureusement la douce voix de Simon qui chante "sound of silence", et l'envie d'aller de l'avant m'ont redonné le sourire. J'ai de nouveau regardé la belle Audrey emballer le timide Gad, et j'ai de nouveau gravi un échelon au jeu de l'âge de glace. Scrat avance ! J'ai regardé le premier match des All Blacks, mon équipe préférée au monde (depuis 2001), le beau Carlos Spencer n'est plus là pour chanter le haka, mais la relève est là. Et si physiquement, les All Blacks ont un avantage, ils l'ont aussi au niveau de l'autre sens du physique, la sexitude ! Richard Maui et ses yeux bleus sans fond, et le beau Sony Bill Williams qui a du changer de maillot pendant le match. Je ne parlerai pas du jeu, car je l'adore, le jeu néo-zélandais est pour moi synonyme de pureté, c'est le jeu de la passe où les drops laissent place à l'imagination, aux attaques magiques, aux remontées fantastiques, aux passes surprenantes, qui côtoient la précision, bref la première demi-heure était un pur bonheur.

Et je les suis de près, toutes les déclarations de leur entraineur (très critiqué pour avoir écarté certains anciens au profit de ces beaux bébés kiwis) grâce à mon app "All Blacks" sur mon bel iPhone blanc.

J'ai craqué, enfin - bizarrement j'avais opté il y a plusieurs années pour la marque concurrente, le Blackberry - valeur sûre et témoignage de mes années passées outre-Atlantique, mais je me suis lassée et lorsque l'iPhone est sorti en blanc, je me suis dit : toi qui possède un Mac, cède donc au plus pratique, toute ma musique est déjà sur iTunes, mes photos sur iPhotos, mes films sur iMovies. Et puis Steve Jobs, ce génie a choisi de repartir dans l'ombre, j'ai souhaité le remercier, un Mac blanc avec un iPhone blanc. Bébé est donc arrivé à la maison avec quelques péripéties, car j'ai une forte tendance à tergiverser, pour ou contre ? J'ai passé des heures sur Internet, j'ai ainsi découvert que des centaines de personnes cherchent à échanger leurs iPhone de couleur noire pour un blanc. Alors lorsque le mardi soir, j'ai enfin sauté le pas, j'ai eu une drôle de surprise : rupture de stock pour les iPhone blancs.  Les noirs sont dispos. Je veux un iPhone 4 blanc. Je raccroche. Trois jours à consulter des dizaines de pages, de photos, de commentaires, à me dire que oui le noir est pas si mal, qu'ainsi les gens ignorent qu'il s'agit d'un iPhone, que c'est plus classe. Le vendredi soir, je rappelle, ayant cheminé vers le noir dans ma tête, je raconte tout à cette jeune femme, qui patiente, finit par m'avouer un secret : ils ont de nouveau des blancs en stock ! Dilemme atroce ! Un truc de filles, je demande du temps de réflexion, on parle livraison, prix, délai, puis je dois répondre, elle travaille à Tours (si si), Nantaise d'origine, elle habitait mon quartier ! Finalement, elle me dit de revenir vers mon premier choix, celui du cœur.

L'histoire ne s'arrête pas là, commande passée le vendredi soir, livraison dans les huit jours. Mais le dimanche, je perds ma douce grand-mère, qu'importe donc le jour de livraison, mais le lundi surprise : un mail arrive me félicitant de l'acquisition.. de mon nouveau Blackberry ! Panique à bord, je rappelle le service clients, erreur - elle vérifie : c'est un bien un iPhone, un blanc j'espère ! Le mercredi, le facteur passe mais je suis avec ma grand-mère pour son dernier voyage, je trouve le bon de passage le soir même et je sais que le jeudi soir je pars à Strasbourg, je ne bouge pas le jeudi matin, il peut passer de 9h à 14h précise le bon, il sonne à 9h05.

Un cadeau ? Cette jolie housse en laine cashmere (vive les chèque-cadeaux FNAC). Et je l'ai apprivoisé, j'ai donc téléchargé plusieurs applis, du ciné, de la ziq, des photos aux trucs utiles (transport, météo, banque), aux jeux (l'âge de glace et cut the rope), et je l'adore. Je peux revoir autant de fois que je le souhaite les hakas, surfer sur le web, et lire ainsi mes blogs préférés, et lire la presse. Il est blanc, mais pas salissant. Je le trouve dix fois plus vite que mon BB noir au fond de mon sac. Et je me suis habituée plutôt rapidement au clavier tactile et au fameux glisser.

J'avais hésité pour certains Android, donc le dernier Samsung que je conseille aussi vivement ! Voilà, je ne pensais pas autant écrire sur un satané téléphone. Cela sonne bien vain (ha ha, je m'en rends compte en me relisant), mais dans des périodes difficiles, se faire plaisir apporte une forme d'apaisement. Un truc purement égoïste.


Comme de commander le coffret vidéo de Band of Brothers - the Pacific, d'avoir regarder chaque épisode, d'en avoir revu certains et de rêver d'avoir rencontrer le fameux Leckie. De me dire, que décidément, j'adore les films de guerre, et de vouloir remercier Tom Hanks d'avoir produit cette série sur ces batailles dont on ne parlait jamais ici, trop occupés à libérer nos propres nations. Les acteurs étaient formidables, tous inspirés de personnages réels, la qualité du scénario en plus.  Un chef d’œuvre télévisuel.

Je crois que je le préfère même au premier volet, malgré la présence de Damian Lewis. J'ai adoré Jon Seda (Basilone) et James Badge Dale (Leckie).

Enfin, petite note sur le lait. Je l'avais déjà dit, précédemment mais j'ai quelques billes en plus concernant mon intolérance au lactose.

A l'âge de dix ans, j'ai arrêté net ma consommation en lait (le chocolat au lait du matin), la vue et l'odeur me donnaient la nausée immédiatement. Le boire, c'était avoir le ventre noué, chamboulé, de fortes nausées et mes tentatives (yaourts) se soldaient par un retour direct dans l'évier. Bref, ce que vous dégoûte ne vous manque pas. Mais bizarrement, j'ai continué à consommer du beurre, et à manger du fromage (quoique j'avoue préféré nettement le fromage de chèvre). Terminé le lait, les flancs, les crèmes, les yaourts, la crème anglaise, les crèmes brûlées, les clafoutis, etc.

J'ai toujours envie de vomir quand je vois quelqu'un avaler un verre de lait frais (ajoutez-y de la fraise et là vous allez avoir très peur), mais lorsque je parle enzyme, allergie ou intolérance, les gens me répondent très souvent  "mais tu manges du beurre, du camembert ou des crêpes" "Ooh la menteuse !"

Un gentil docteur m'a donc expliqué ce que je savais en partie, nous possédons tous des enzymes nous permettant de digérer le lactose contenu dans le lait de vache. Le fait que l'Europe soit la patrie des éleveurs de bétail (et quelques autres grands pays), explique en partie le fait que généralement les gens conservent ces enzymes tout au long de leur vie (celles-ci existant à la base pour digérer le lait maternel), mais d'autres malheureux voit leur nombre d'enzymes diminuer (ils mangent encore tous les produits laitiers mais avouent avoir du mal à boire du lait frais), et pour certains ( dont moi) - adieu les enzymes !

Cela s'appelle une intolérance, pas une allergie (je suis allergique à l'aspirine et je gonfle comme une baudruche, y a pas photo) - mon corps ne digère plus le lactose. Alors pourquoi puis-je, en bonne Nantaise, encore beurrer joyeusement mes tartines de beurre salé ? Parce que le beurre, comme le fromage ne contient que très peu de lactose (moins de 0,5%) contrairement au lait frais et aux yaourts. Il faudrait que je consomme un kilo de parmesan pour retrouver le même taux de lactose contenu dans un verre de lait !

Donc, non,  je ne suis pas une affabulatrice - je ne suis pas non plus végétarienne ou végétalienne (je mange de la viande et des œufs), j'utilise le lait pour quelques recettes mais depuis quelques temps je privilégie d'autres laits (soja, amande) et si j'achète encore du lait, c'est celui vendu avec un petit taux de lactose (très cher) car je ne digère plus les crêpes faites avec du lait demi-écrémé et je ne peux pas vivre sans crêpes !

Enfin, mon intolérance s'était aussi manifestée lors d'un test cutané pour les allergies fait adolescente, j'avais fortement réagi au lactose, donc n'hésitez pas à faire un test. Certains ont une intolérance pour le gluten, mais l'ignorent, car contrairement à une allergie (œdème, éruptions cutanées, etc.), il ne se produit aucune réaction à part le mal de ventre, ou des nausées, ou parfois une fatigue chronique. C'est le cas de cher Nole (Novak Djokovic) qui a découvert par hasard son intolérance au gluten (et le pauvre souffre, je le comprends, car là au revoir le pain !).

Ma seule fierté, ne pas être intolérante au chocolat ! Bonne semaine à tous.

Pour finir en beauté, une petite vidéo que j'aime beaucoup, vous y entendrez la voix de Willie Nelson reprendre "The Scientist" de Coldplay (ma chanson préférée de ce groupe), reprise qui me fait penser à celle de Johnny Cash ("Hurt" de Nine Inch Nails). La vidéo créée par Chipotle, milite pour le développement durable, et le retour à des productions saines et locales (du lait, tiens !).  En achetant la chanson sur iTunes, vous aiderez cette ONG.


04 septembre 2011

Dans vos salles prochainement

Alors que j'attends patiemment la sortie de A dangerous method  de David Cronenberg, qui relate la vie de Freud (Viggo Mortensen), Carl Yung (Michael Fassbender) et une jeune patiente (Keira Knightley) prévue le 30 novembre prochain, je vais devoir attendre le 4 janvier 2012 (sic) pour voir Jane Eyre  ! Le film est pourtant sorti début mars 2011 outre-atlantique.

De nouveau à l'affiche, Michael Fassbender, acteur devenu incontournable et Mia Wasikowska (la Alice de Tim Burton) dans le rôle phare de Jane Eyre. J'ai lu le livre, et vu deux adaptations, l'une avec Charlotte Gainsbourg datant de 1996 et une mini série avec Ruth Wilson en 2006. L'histoire ne change pas mais bizarrement j'aime cette atmosphère froide et mystérieuse. 

II y a tout un tas de sorties prévues, j'ai choisi de les trier, certains films ne m'intéressant pas, je fais l'impasse.


Le festival de Venise bat son plein et on parle beaucoup du dernier film de Roman Polanski, Carnage (ou God of Carnage, inspiré du livre éponyme de Jasmina Réza) qui met en scène deux couples dont les enfants se sont battus. La rencontre va dégénérer, les deux mère sont jouées par Jodie Foster (trop ravie de la revoir !), et Kate Winslet, les pères par John C.Reilly et surprise Christopher Waltz (le méchant nazi d'Inglorious Bastards). Voici la bande-annonce :



J'attends aussi avec impatience (et pourtant .. il va falloir attendre longtemps..le 28 décembre !!) la sortie de Texas Killing Fields, un thriller américain situé aux fins fonds du Texas, avec Jessica Chastain et Sam Worthington (réunis après The Debt) et Jeffrey Dean Morgan (les fans de Grey's Anatomy le reconnaîtront), l'histoire raconte comment deux policiers vont tenter, chacun à leur manière de mettre la main sur un tueur en série, et se retrouver soudainement pris en chasse à leur tour.



Un autre film pour nous faire frissonner : Dream House avec Daniel Craig, Naomi Watts and Rachel Weisz (pour les potins, c'est ainsi que Craig et Weisz se sont rencontrés et tombés amoureux). Le film raconte l'histoire d'un couple sans histoire qui va s'installer dans une maison .. hantée suite au massacre de l'ancienne famille. Mais bizarrement le père de famille est le même ...


Je laisse de côté les films Immortals, Red Trail, Conan the Barbarian .... et je vous offre la comédie de la rentrée, attendue le 14 septembre, qui a fait un tabac outre-atlantique Crazy Stupid Love, la bande-annonce ne m'emballe pas (un peu trop guimauve), mais j'aime beaucoup Ryan Gosling et Julianne Moore. Alors pourquoi pas ?


02 septembre 2011

La guerre est déclarée

Comme beaucoup, j'avais entendu parler de ce film lors de sa sortie au Festival de Cannes, l'ovation de plus d'une demi-heure y était pour quelque chose. Alors, j'ai voulu aller le voir.

L'histoire est simple mais grave, elle raconte une tranche de vie, celle d'un jeune couple, Roméo et Juliette qui se retrouvent confrontés à l'indicible : la maladie de leur très jeune enfant, Adam.

Valérie Donzelli a pris le pari en réalisant ce film de raconter un épisode douloureux de sa propre vie, et de choisir de jouer son propre rôle, et offrir au père de son enfant et ancien compagnon, Jérémie Elkaïm celui de Roméo.

Je ne sais pas trop par quoi commencer, aussi je vais jeter sur le papier mes impressions : le film est vivant, beau, parfois sublime, grave, euphorique, romantique, triste. Il regroupe toutes les émotions que l'on peut éprouver. Le film est dédié à leur enfant, qui joue d'ailleurs son propre rôle à la fin du film. 

Je crois qu'elle a fait ce film pour lui, lui prouver d'abord qu'il est bien un enfant de l'amour, même si ses parents se sont séparés depuis. La réalisatrice a filmé de manière sublime la rencontre de Juliette et Roméo, leur coup de foudre, leur amour naissant, la joie de vivre qui sied à tout jeune couple, les projets, la grossesse, la naissance de cet enfant "parfait".


Puis, elle a choisi de faire partager aux spectateurs les premiers signes qui inquiètent les parents, les premières consultations et le verdict. Mais plutôt que de verser dans le "drame", elle a choisi de montrer le combat que vont mener les parents, leur choix de se battre, de continuer à vivre, sortir, boire - la vie doit l'emporter, à tout prix.

Ils sont tellement beaux qu'on a du mal à les voir soudainement rattrapés par cette réalité. Je les vois cette semaine écumer les plateaux de télévision, j'ai lu plusieurs interviews et Valérie Donzelli insiste sur le fait que non, le film ne vire pas dans le pathos, et qu'on ne montre pas l'enfant, ni l'hôpital. Comme si c'était une tare. Or si le film ne verse effectivement pas dans le pathos, on y voit cependant l'hôpital, cette espèce de pieuvre qui les prend au piège. Enfermés, cloitrés dans ce lieu froid, ils tentent malgré tout d'apporter de la vie, mais l'hôpital prend le dessus, sur leur couple, leur joie de vivre, plus que la maladie de leur fils.

Je ne sais pas si Valérie Donzelli a eu conscience de l'impact de ce lieu sur le film. Car elle nie farouchement son existence, pourtant pour moi c'est un lieu central du film. Un enfant malade (dès l'âge de seize mois, sortez vos mouchoirs !) ne peut être laissé seul pendant des mois, la réalisatrice montre donc comment ils se retrouvent à dormir sur place, dans un lieu dédié aux parents. C'est cet isolement temporaire qui va peu à peu prendre le dessus. Mais je ne vous dis pas tout ! Le film est effectivement joyeux, et apporte de véritables bouffées d'air pur.



Et la réalisatrice sait parfaitement mener son film, avec une immense liberté, et une vraie fraicheur. Ainsi se permet-elle de mettre de la musique, de transformer une scène de panique en une course poursuite effrénée, de faire danser et chanter ses personnages. Où chaque pas, chaque geste rappellent une chorégraphie. La musique est prégnante toute le long du film, comme un lien ténu avec la vie.

Tous les acteurs sont formidables, j'ai eu un véritable coup de foudre pour Jérémie Elkaïm, dire qu'il est séduisant est facile, on comprend pourquoi Roméo a emballé Juliette ! Mais il sait interpréter tous les registres, Valérie Donzelli joue une Juliette forte, indémontable.

La musique est donc un élément essentiel, et moi qui n'aime pas particulièrement la musique "française rive gauche (ou droite)", j'ai apprécié chaque moment. Les plus beaux moments pour moi étant la première partie, la rencontre de Juliette et Roméo.

Une question me taraudait pendant tout le film,  comment les deux acteurs ont pu ainsi rejouer leur coup de foudre devant une caméra, sans retomber amoureux ? Comment pouvaient-ils s'embrasser, se toucher, sans que cela ne ramène des souvenirs ? Comment leurs compagnons actuels vivent-ils de les voir travailler sans cesse ensemble et pousser cette complicité à jouer des amoureux ? Je comprends que ce film soit un véritable cadeau pour leur enfant, et je les félicite pour avoir osé "rejouer" devant les caméras. On tombe amoureux de leur couple, et on a envie de les voir ensemble pour l'éternité.

N'est-ce pas l'histoire de Roméo et Juliette ? Ce film est une sorte de bulle dans le monde cinématographique, une bulle de savon comme celle au mariage de mon cousin qui venait accueillir les mariés à la sortie de l'église, elle rend la vie plus belle, vous fait voir la vie différemment et finit par éclater. Lisez-les critiques dans la bande-annonce si vous doutez encore !

PS : et en plus, il a une jolie voix ;)

01 septembre 2011

Strasbourg

Me voilà à peine de retour, j'étais partie en famille à Strasbourg assister au mariage de mon cousin et profiter de la jolie ville alsacienne. La chance fut de notre côté car si les premiers jours, il y a eu encore quelques averses (le soir de notre arrivée à coïncidé avec un épisode orageux particulièrement fort), le temps est parti sur le beau et même le chaud ! 

Connaissez-vous la capitale de l'Est ? Une très belle ville, avec son quartier "La Petite France" (cherchez l'origine de ce nom, vous rigolerez un bon coup), les promenades en bateau sur l'Ill qui vous mèneront de la Tour du Bourreau au Parlement Européen, en empruntant des écluses et des ponts tournants. 

Ma famille étant là-bas, j'avoue que je joue peu aux touristes, j'enchaine les visites, les repas en famille ou les sorties au restaurant et quelques sorties shopping (Place Kléber, les Halles ou le centre commercial Rivétoile) avec des ballades dans les Vosges. Mais cette fois-ci, j'ai joué aux touristes, un guide en main, j'ai redécouvert le Carré, la Cour des Corbeaux, le Jardin Botanique, la Cathédrale et une promenade en péniche sur l'Ill. D'ailleurs, le soleil tapait si fort que c'en était parfois trop. 

Mon pêché mignon c'est le salon de thé de mon oncle - j'y vais à chaque fois, en plus des petits-déjeuner, du thé (ou chocolat chaud maison, chocolat viennois, etc.) et des gâteaux, il sert un déjeuner à tomber à la renverse. Bref, pas régime du tout. Mais le meilleur salon de thé sur terre.
 
La preuve ces quelques photos que j'ai prise, les trois fois où j'y suis allée. Étant de la famille, j'ai l'opportunité d'aller en cuisine et je peux vous assurer que tout est fait maison, des meringues servies à chaque plat sucré, aux fonds de tarte, aux coulis de fruit, à ce gâteau aux trois chocolats ou à leur spécialité, le gâteau au fromage. N'hésitez pas à vous y rendre, surtout en hiver lorsqu'il fait - 11°C ! Il se situe dans le quartier historique de la Petite France, dans la Grand Rue.  Allez, je vous propose même une visite panoramique grâce ce lien ! Si l'image ne bouge pas, cliquer sur la petite icône représentant les sigles Play et Pause.

Bref, en un mot, n'hésitez pas à vous envoler pour Strasbourg !


ストラスブールフランス東部美しい首都での滞在いくつかの写真私は家族を訪問し、私は歴史的地区に位置する私の叔父素晴らしいティールームを利用しました病気歩いた訪問をすることを躊躇しないでください