!-- Font Awesome -->

28 juin 2013

The Friday Story

http://www.peoplepets.com/people/pets/article/0,,20711716,00.html


Bon, une petite vidéo toute simplette mais adorable, quand maman cane perd ses petits, et que des êtres humains lui viennent en aide ! Le policier dit qu'il est impressionné par le fait que la mère soit restée là à surveiller ses petits. Pas moi !



*   *   *


Quand les réseaux sociaux sont utiles ! On critique souvent les réseaux sociaux (FB, Twitter) mais on oublie aussi qu'ils peuvent sauver des vies.  Laissez-moi vous présenter Rusty, le panda rouge du Zoo national Smithsonian à Washington D.C.  Ce dernier avait mystérieusement disparu de son enclos lundi matin. Aussi, le zoo avait émis un bulletin d'alerte sur Facebook et Twitter.
Et bingo !  Ashley Foughty a posé une photo sur Twitter de Rusty dans un bosquet. Le zoo a alors rapidement dépêché une équipe afin de localiser le jeune panda rouge dans le quartier d'Adams Morgan à Washington. A première vue, le jeune panda (il fêtera ses un an le mois prochain) n'a souffert d'aucun traumastisme, sinon qu'il est Houdini pour le personnel du zoo et qu'il a, dès son retour, réclamé son repas préféré : des grappes de raisin ;-)



Red panda in our neighborhood! 20th NW and Biltmore. Please come save him! @nationalzoo1 pic.twitter.com/llQF7P9QH5

Le zoo vient de poster une photo de Rusty qui a eu le droit de passer voir le véto pour vérifier que tout allait bien, un peu triste dans sa petite caisse de transport après ce moment de liberté.  J'ai travaillé dans un refuge, et il est normal de rêver de les voir retourner à la vie sauvage, mais il faut aussi voir la réalité en face, les zoos sont parfois les derniers lieux protégeant certaines espèces et permettant même de les voir à nouveau procréer (en empêchant les problèmes de consanguinité rencontrées dans certaines réserves africaines chez les fauves).


*   *   *

Enfin, un avis de naissance, enfin elles grandissent vite ...le zoo de Magdeburg en Allemagne a accueilli le 29 avril dernier ces charmants bébés aux yeux bleus, chacune pesait entrait 5 et 6 kilos environ à la naissance. Les voir jouer remplit de joie les visiteurs du zoo. L'une d'elle s'appelle-t-elle Angela ? Non je plaisante ;-)




26 juin 2013

Destination vacances


ça fait rêver, hein ? C'est là où je vais, évidemment vous pensez déjà à la Méditerranée, ou l'Asie, ou même le Pacifique ... eh bien, vous avez tort ! Je file au nord de l'Europe, dans l'Europe septentrionale

Je pars pour une bonne dizaine de jours découvrir deux pays Baltes (le troisième une prochaine fois), l'Estonie et la Lettonie. Pour être honnête, je ne vais passer que deux journées à Riga en Lettonie, je vais passer la principale partie de mon voyage à Tallin (capitale de l'Estonie) et dans le sud du pays, dans leur station balnéaire, digne de Saint-Tropez (et pour les férus comme moi) célèbre pour ses bâtiments Art déco. 

La photo de la plage, c'est en Estonie. La carte ici montre l'Europe septentrionale avec les quatre pays scandinaves (Suède, Norvège, Danemark et Islande) et en vision élargie ceux parlant la langue finno-ougrienne (Finlande et Estonie) et les langues baltes (Lettonie et Lithuanie), petits pays qui me fascinent depuis toujours. Leur histoire aussi (si vous avez lu Purge, vous avez appris l'histoire de ces états baltes). Pour les curieux ou curieuses, les trois pays font partie de l'espace Schengen, donc pas besoin de passeport, ni de visa et l'Estonie est même passée à l'euro. 

Je ne savais pas jusqu'à hier si j'allais partir ou pas, parce que pour être honnête, j'en suis à ma troisième destination. La première, c'était Boston - ayant vécu aux USA, j'ai toujours envie d'y retourner même si l'effet "surprise" ne fonctionne plus. J'ai toujours ce projet en tête car j'ai envie de revoir d'anciens amis.  Puis il m'est arrivé pas mal de choses, et j'ai laissé passer ma chance (disons que le billet d'avion à 600 euros en janvier s'est transformé en 1 200 euros en mai ...) et j'ai donc décidé de reporter ce voyage (malgré l'obtention d'un visa, oui j'ai besoin d'un visa, quand je vous dis qu'il s'en passe des choses !). 

J'ai alors projeté de partir avec une amie en Angleterre avec au programme une petite virée à Londres et de la randonnée dans la sublime campagne anglaise. Mais voilà, je n'ai jamais eu le temps de rechercher des infos, étant comme j'en ai parlé, complètement débordée au travail et incapable le week-end de m'y mettre. Le temps a donc fait son œuvre et nous avions aussi des problèmes de dates et de tarifs (TGV). Je m'y suis pris à la dernière minute, enfin nous avons toutes les deux contribué à cet état de fait et comme elle devait partir loin de toute civilisation, j'ai préféré annuler. 

Riga, Lettonie
Me voilà de nouveau sans projet, mais refusant l'idée de rester en France cet été. Je ne l'ai pas fait depuis mes 18 ans ! Ne vous méprenez pas, j'adore mon pays, c'est un des plus beaux au monde mais j'ai toujours besoin d'entendre une nouvelle langue pour pouvoir vraiment m'évader.

Me voilà donc de nouveau à chercher et j'ai trouvé des compagnons de voyage qui avaient déjà réservé leurs billets d'avion pour l'Estonie. L'idée m'a séduite. J'ai la chance d'avoir déjà voyagé pas mal seule et de parler anglais et me débrouiller en russe (pas en estonien) donc je me suis lancée. Je vais retrouver ces compagnons à Tallin, nous n'irons pas ensemble à la plage car ils préfèrent visiter Helsinki (en Finlande, c'est en face par le ferry, mais je connais déjà le pays et la capitale) mais nous irons à Riga ensemble. 

J'ai hâte de découvrir les capitales baltes, le peuple estonien et letton, leur cuisine, leurs boissons (vodka !). Bref, faire le plein d'images, d'odeurs, de souvenirs ! Et revenir en forme au travail pour affronter un mois d'août chargé, je dois en effet préparer mon futur départ, et je n'aurais pas une minute à la rentrée, donc je prévois une bonne heure de tri et de rangement par jour. 

J'ai évidemment hâte de connaître vos destinations et faire le plein d'images à votre retour ;=)  A votre tour de me faire rêver !
 

24 juin 2013

My addictions of the week




Comme Jean-Paul et Anna, je guette le beau temps ! Il est passé plusieurs fois ce week-end mais a refusé de déposer ses valises. Enfin, je suis mauvaise langue - il est enfin là, aujoaujourd’hui lundi - un immense ciel bleu et je suis enfermée au boulot ! 


Mes drogues télévisuelles


D'abord, je ne suis pas du tout d'accord avec les critiques sur la deuxième saison de Homeland, elle est tout aussi intéressante et pleine de suspense, les acteurs que l'on aime sont toujours là (ce n'est plus très à la mode Outre-Atlantique, ils adorent les flinguer) et puis j'apprécie l'arrivée du personnage de Peter Quinn, le beau Rupert Friend. Et la relation entre Carrie et Brody est toujours aussi explosive.

De la testostérone ! Je suis ravie de retrouver Strike Back ;-) Et même si les ficelles sont grosses, si les personnages sont parfois un peu simplistes, j'adore voir le brun se taper toutes les belles nanas et le flegme britannique du blond. Un duo à la Starsky et Hutch version 2013. Et puis si les missions se ressemblent, elles ont le mérite d'avoir un fil rouge et les méchants sont aussi excellents que les gentils. Enfin, les filles ne sont pas que "bonasses", elles sont aussi futées, intelligentes et elles savent se battre. Bref, vous l'aurez compris, j'adore retrouver cette série. C'était ma minute "j'aime les films de guerre". 
Merci Canal + d'avoir acheté la nouvelle saison.

Et puis, évidemment Working Girls qui m'apporte une bonne dose de rire, et là j'ai changé de personnage préféré, avant j'adorais la nympho (que j'aime toujours) mais là je dois avouer que la grande patronne m'épate ! Cette actrice est extraordinaire. A voir d'urgence (surtout si moral un peu en baisse). 

Dans les bonnes nouvelles, une nouvelle saison de Luther va être tournée (ou est en cours)- yes, avec le bel Idris Elba. Je vous avais déjà parlé de cette autre série britannique, j'espère que Canal achètera les droits également.

Pause sport - J'ai aussi eu la chance de voir les All Blacks à trois reprises battre la France. J'en parle rarement, mais je ne le cache pas, les AB et moi, c'est une très longue histoire. Et j'ai aussi regardé quelques documentaires, comme celui sur ces scientifiques qui étudient l'immensément petit et espèrent pouvoir agir sur certaines maladies. Un autre documentaire sur la guerre et puis un sur Bob Marley.

Tout ça pour dire, que oui il y a de bons programmes à la télé, Canal étant payant, je le mets de côté, mais Arte, France 5 ou France 4 diffusent de bons programmes et il faut juste chercher un peu. La télé, on en fait ce qu'on veut ! 



A propos de Canal +, ils diffusent actuellement le film réalisé par David Fincher, adapté du roman de Stieg Larsson, Millenium. Je l'ai vu au cinéma, j'ai écrit un billet et je vous bassine régulièrement pour mon amour sans limite de la série originale suédoise. Bref, j'ai été happée à nouveau par ce film, et depuis que j'ai découvert Rooney Mara dans d'autres rôles, j'aime encore plus son interprétation de Lisbeth. Pourtant, j'ai un sérieux problème avec Daniel Craig d'habitude mais là l'histoire prend le dessus ;-)

Mes drogues cinématographiques

Vous l'aurez deviné, je n'attends que ça ...sortie mercredi ! 




Mes drogues culturelles

J'ai hâte d'être au 28 juin ! Pas uniquement pour toucher ma paie, non pour aller découvrir le fabuleux Voyage à Nantes, ce voyage mis en scène dans le cadre de "Nantes, capitale verte européenne 2013". Une quarantaine d’œuvres d'art vont envahir la ville et l'Estuaire (La Loire) dont l'impressionnant serpent d'océan de Huang Yong Ping. Je compte bien vous faire partager ce parcours insolite !


Bonne semaine à tous !



23 juin 2013

A quiet Sunday



Pas besoin de vous en dire plus ... sinon qu'il a fait beau cet après-midi et que Bambou a profité du balcon, mais elle retourne toujours à son fauteuil et elle adore s'y prélasser des heures.

18 juin 2013

Luna Park (ou mon film culte)

Je m'y étais engagée, je m'y tiens ! Voici donc un de mes films préférés, Luna Park de Pavel Lounguine qui fait partie de mon top 5 et arrive sans doute en deuxième ou troisième position. Pourtant ce film n'a pas fait la une des journaux et il date (1992), et en plus il est russe ! Mais voilà, il a volé mon coeur et comme tous mes films préférés, je l'ai vu et revu, sans doute une bonne dizaine de fois. Et préparer ce billet me donne tout de suite envie de le revoir.

L'histoire n'est pourtant pas très attrayante mais étrangement elle est parfaitement d'actualité. Nous sommes donc en 1992, l'URSS vient de mourir, et la Russie entre dans une nouvelle ère, la fin du communisme a laissé émerger les inégalités et ...le pays voit émerger des groupes nostalgiques de l'ancienne Russie.


"Les nettoyeurs" est l'un d'eux, nationaliste et fasciste, composé de jeunes russes décidés à "purifier" la Russie des juifs, homosexuels et tous les marginaux en organisant rackets,  passages à tabac et autres actes de violence. Ils détestent l'Amérique et tout ce qu'elle représente (l'image la plus connue du film est celle qui montre le héros écraser une cannette de coca, cf. photo ci-dessous).

Ils ont installé leur QG dans un parc d'animation, le Luna Park, près des manèges et des stands de tir. Andreï, l'un des membres les plus actifs, orphelin de son état, avale religieusement les paroles d'Aliona, sa chef spirituelle et mère de substitution, jusqu'au jour où celle-ci lui révèle qui est son père : Naoum Kheifitz, un compositeur juif célèbre dans les années 60, elle lui demande d'aller lui régler son compte.  Andreï part accomplir sa mission, et la rencontre ne va, vous l'aurez deviné, évidemment pas se dérouler comme prévu.


Le film est (souvenez-vous, je suis totalement subjective) une ode à l'amour, la liberté, la tolérance. Ce jeune homme va faire la rencontre de sa vie, et le choc va être rude. Le vieux compositeur représente tout ce que les nettoyeurs abhorrent, son appartement est l'espace d'expression pour des artistes internationaux (une équipe de tournage française, des inuits, un koweïtien) et le vieux juif est totalement égocentrique et obsédé par ses problèmes de santé. Célèbre compositeur sous Brejnev, le spectateur comprendra pourquoi Aliona souhaite tant le punir. La rencontre du père et du fils ressemble à un feu d'artifices, et le moment viendra où Andreï devra choisir entre ses deux familles.

Ces "nettoyeurs" existent toujours en Russie, les agressions racistes et antisémites perdurent, aussi le film n'a rien perdu de sa pertinence. J'adore le travail réalisé par Pavel Lounguine sur cette Russie déboussolée après la chute du communisme, où ces premières années de liberté sont synonymes de grand bazar. Moi qui viens de finir la lecture de Limonov, je considère ce film comme un véritable témoignage de cette époque post-soviétique. 

Et puis, ne nous voilons pas la face, la résurgence de ces groupes fascistes dans les pays européens, dont la France, me rappelle qu'à chaque crise économique et sociale, ils réapparaissent comme des verrues.


J'ai vu ce film alors que j'habitais aux États-Unis, j'allais à la fac et nous étions peu nombreux à nous déplacer pour voir ce film, les américains n'ayant pas envie d'aller voir un film en russe sous-titré en anglais. Pour l'anecdote, il s'agissait du même cinéma que pour l'Armée des douze singes, quelle époque ! Moi, déjà férue de cinéma, et étudiante en russe, j'ai évidemment foncé les yeux fermés et je ne l'ai pas regretté. C'était quelques années après sa sortie. Le temps de traverser l'Atlantique sans doute !

Ce film vous mettra du baume au cœur.

Je l'ai vu tellement de fois que je le regarde dorénavant en russe, sans sous-titres. Je connais la majorité des dialogues par cœur. J'ai vraiment eu peur que ce film soit oublié, ne possédant pendant longtemps que la cassette vidéo, fort heureusement, il est sorti en DVD et je me suis précipitée l'acheter.


J'étais une très jeune étudiante et je dois l'avouer, moi qui adore les blonds, je ne suis pas restée longtemps insensible au charme d'Andreï Goutine, l'acteur principal, qui n'avait pas d'expérience cinématographique mais dont le physique correspondait au rôle. Sa présence est charismatique, il parle peu, mais son père lui parle tout le temps. Ma scène préférée est lorsque ce dernier s'asseoit au piano et se met à jouer (Chopin) et que le jeune homme découvre la musique classique, et l'écoute. Comme j'adore la dernière scène et les problèmes de prostate, obsession principale du vieux compositeur !

Car ce film n'est pas fait que de violence, même si la première scène qui oppose les nettoyeurs à des bikers pourra vous impressionner, au contraire, il est émouvant, drôle, touchant. Tous les acteurs sont formidables, avec mention spéciale aux deux acteurs principaux, Andreï Goutine et Oleg Borisov. Le réalisateur Lounguine avait fait mouche avec son premier film, Taxi Blues. Mais je lui préfère largement Luna Park.


Pour vous prouver ma passion, j'ai découvert par hasard un jour sur e-Bay que des photos originales prises lors du tournage étaient en vente. Je me suis empressée d'enchérir et je les garde précieusement dans leur enveloppe. Ma préférée étant celle où l'on voit le bel Andreï.  A y réfléchir, je vais acheter un cadre, elle ira parfaitement dans mon nouvel appartement et voir ce visage quotidiennement ne pourra me faire que du bien !



Pour les curieux, vous pouvez visionner ce film sur le site d'Univers Ciné qui propose tous les films européens indépendants en vod. En plus, vous pourrez voir un extrait du film, la scène de la rencontre entre les deux hommes, bien plus intéressante que la scène de l'affrontement entre les nettoyeurs et les bikers.

Ma note (pas du tout objective !) :

16 juin 2013

A quiet Sunday

J'espère que vous avez bien profité de ce week-end, ici majoritairement ensoleillé, voir chaud comme cet après-midi, avec comme dirait Laurent Cabrol, quelques passages nuageux, vites chassés par mon dieu préféré, Éole.

J'en ai profité pour retourner dans deux parcs nantais que j'aime beaucoup et admirer à nouveau les magnifiques fougères, qui chez moi, tournent à l'obsession. Il faut dire qu'elles sont partout, sur les maillots de mon équipe de rugby préférée, qui a transformé mon samedi matin en une belle journée, les All Blacks ayant réalisé un match magnifique contre les français samedi matin. Se réveiller au son du haka, c'est magique !



Puis aujourd'hui, je suis allée dans l'autre parc, qui contraste avec le précédent, du jardin anglais, qui laisse la nature prendre le dessus au jardin à la française, où chaque parterre a été travaillé au millimètre près. J'y admire les nombreuses statures grecques et son côté désuet, en imaginant Hercule Poirot s'y promener. 


Le soleil est donc de retour, et les jardins sont encore très printaniers, pas assommés par la chaleur, et nous offrent des couleurs éblouissantes, comme celles-ci, aperçues dans le jardin d'un particulier, qui peut s'enorgueillir de son parterre.



Bonne semaine à tous !




13 juin 2013

My addictions of the week



Mes drogues olfactives

Oui - ça peut sembler étrange, mais je dois avouer que ce parfum particulier a pour effet immédiat d'éveiller en moi un véritable plaisir, une sensation de bien-être ! C'est tout simplement l'odeur de l'herbe fraichement coupée ! Et aujourd'hui, il semblerait que les espaces verts aient eu droit à une petite coupe très sympa, résultat le promenade de la petite saucisse, qui j'avoue parfois me semble un peu longue, m'a ravie ! J'étais comme elle, le museau au vent !


Mes drogues télévisuelles 

J'avoue qu'en ce moment je suis ravie de payer mon abonnement à canal +, entre les films (bientôt Millenium, et des tas d'autres) et les séries, je suis bien occupée. Les lundi et jeudi soirs particulièrement. Je ne vous parle pas des excellents documentaires pour ne pas faire de jaloux.
 
Par contre j'ai hâte de voir la nouvelle grille des programmes à la rentrée, car je ne regarde plus depuis longtemps le Grand Journal que je trouve totalement superficiel et le pire, c'est cette fâcheuse manie de ne parler que d'eux, une forme d'auto promo que j'avais déjà reproché à la Matinale, que j'ai également cessé de regarder (et si je veux faire ma langue de vipère, je trouve la nouvelle présentatrice, exportée du GJ complètement transparente). Pour en revenir au GJ, j'aime beaucoup l'humour de Chris Esquerre et les papiers qu'il écrit, mais faire le bilan des petites manies et lapsus de l'équipe du GJ, je trouve ça navrant et comme je suis lancée, les yeux plissés de Denisot et ses quatre sempiternelles questions (sur ces fiches) et le rire bêta de Daphné m'insupportent. Oh comme ce cher Stéphane Bern, je suis tout fiel et venin ce soir !

Et surtout je suis sidérée du peu de temps consacré à l'invité, réduit à un rôle de faire-valoir de l'émission, qui doit venir présenter son œuvre (livre, film, musique) en moins de sept minutes (entre les pubs, les sketches) et doit applaudir lorsqu'on lui montre son plus grand succès pour la énième fois (une pensée pour Dustin Hoffman à qui l'on montre pour son grand malheur encore une fois des images de Tootsie, un film de 1982 !).
Bref et le duo formidable du SAV me manquent terriblement, je l'avoue.

Côté séries, ouf la chaîne assure :  le retour de Homeland (saison 2) avec Claire Danes, je suis fan donc vous savez où me trouver le jeudi soir et dès jeudi prochain, en seconde partie de soirée, la série déjantée de C+ qui me fait pleurer de rire, Working Girls et le lundi soir la nouvelle série de Michael Hirst, papa des Tudors, Vikings, et bientôt la saison 2 de la série musclée britannique Strike back dont je vous avais longuement parlé il y a quelque temps (en octobre dernier). Je vous indique le lien car je ne vais pas à nouveau vous embêter avec cette série "très gros bras" d'agents britanniques, elle confirme juste mon goût pour les films de guerre en général et la géopolitique car ici on voyage dans tous les conflits.

Et comme je suis curieuse, j'ai donc regardé la série policière australienne diffusée le dimanche soir sur la 3, les enquêtes de Miss Fisher - j'apprécie même si j'avoue que je trouve parfois l'actrice principale un peu énervante. Mais, j'aime toujours autant les séries historiques. Sinon, je profite des derniers épisodes de la série L.A Closer avec Kyra Sedgwick. Dernière saison. Merci à France 2 de proposer la version originale où l'on peut profiter de l'accent sudiste de Brenda Lee Johnson ;-)


Mes drogues musicales


Encore une musique de film, enfin oui et non. Disons que j'ai vu un extrait d'un concert donné à Dublin par la chanteuse Lana Del Rey et que cela m'a fait penser à la bande-annonce du film The Great Gatsby, et que j'en ai profité pour écouter à nouveau quelques titres de ses précédents albums et évidemment j'ai fini par les acheter et depuis je les écoute en boucle.

J'avais adoré son titre Video Games, pour la voix, l'atmosphère, et le monde très visuel qu'elle sait recréer dans ses clips. J'aime aussi la personnalité qu'elle s'est créée, comme Dita Von Teese - elles ont osé aller jusqu'au bout de leurs rêves. Ce sont des artistes complètes, qui écrivent, de vraies créatrices.  Étrangement, les américains la boudent depuis son échec à Saturday Night Live. Pourtant en écoutant sa musique, en regardant quelques uns de ses live, je ne doute pas de son talent et j'aime sa voix grave.

J'ai donc craqué pour :

Young and Beautiful qu'elle interprète pour le film de Baz Luhrmann, The Great Gatsby.





et deux extraits de son album,
Paradise sorti il y a déjà huit mois et dont j'avais déjà acheté Born to die, mais voilà, je vis dans une bulle de musique de films, aussi je redécouvre sa musique avec plaisir. Les deux extraits sont donc : Ride et Gods and Monsters, qui suscite beaucoup de réactions et qu'elle ne pourra sans doute jamais interpréter à la télévision américaine vu le vocabulaire utilisé ! Un petit bijou très sulfureux. Cette chanson n'est pas un single, ici le clip a été réalisé par un fan qui a mixé plusieurs de ses clips.




                                                    Bonne fin de semaine !






12 juin 2013

The super Tuesday (Hobbit & grosse crise de stress)




Look who's back !  Okay, il faudra patienter jusqu'au 13 décembre ... mais la bande-annonce arrive aujourd'hui et tous les fans à travers le monde (dont moi) se réjouissent de retrouver la Terre du Milieu, Bilbo et ses amis les nains, et Legolas ... Un premier cadeau de Noël qui illumine cette journée !

Okay, voici la bande-annonce de The desolation of the Smaug, pour ceux qui ont la flemme de la chercher sur Internet : 




*   *   *


Voilà donc un drôle de billet car mon premier objectif était d'écrire un texte entièrement dédié sur dimanche et lundi derniers, j'ai été surprise de voir au journal hier soir que je ne suis pas la seule à trouver que les conditions de travail se sont dégradées depuis quelques années. J'ai évidemment la chance d'avoir un job, fixe, d'en avoir retrouvé un autre, aussi quand je pense à ceux qui galèrent à retrouver un emploi, je me sens un peu mal, mais de voir tous ces gens également écrasés par leur travail, et me retrouvée moi-même dans une situation de stress alarmante, je me pose forcément des questions. Enfin, vous allez voir comment on peut aussi, tout seul, faire siffler à donf la cocotte minute ! Une leçon de choses à ne pas faire. 


Copyright : ethereal-mind.deviantart.com

En premier, je veux nuancer mes propos, j'ai aussi largement participé à me retrouver dans cette situation, en ne communiquant pas en amont à mon chef les soucis que je rencontrais, et à imaginer soudainement le ciel me tomber sur la tête. Cette année, j'ai accumulé du retard dans mon travail, je ne peux pas entrer dans les détails, mais je manage une équipe d'une dizaine de personnes, dont la charge de travail ne cesse d'augmenter d'années en années.  Depuis plusieurs mois, ma boite est engagée dans un mouvement de mobilité important, et pour s'assurer de leur succès, ils ont décidé de ne plus remplacer tous les départs depuis juillet 2012. Résultat, trois départs et aucun remplacement, avec en plus cette réorganisation à gérer, le stress des collègues restants, le stress lié à tout ce remaniement (qui impacte 60% de mon équipe). De plus, nous sommes entrés dans l'ère du management participatif - traduction ? Des tableaux de bord par dizaine, une soixantaine de mails par jour et une réunionite aiguë qui se traduit par un agenda plein à déborder. Vous vous reconnaissez ?

Des journées de dix heures où après avoir enchainé les réunions, les debriefing, etc. il est déjà 18 heures quand je peux enfin commencer à profiter du calme pour lire mes mails quotidiens, les parapheurs, les notes, les infos diverses et m'attaquer à mes dossiers. J'aime le management et je ne refuse jamais d'accompagner mes collègues à des réunions importantes, le management c'est accompagner et soutenir. Et j'avoue que j'ai du faire de l'accompagnement quotidien avec l'un d'entre eux en particulier en début d'année qui a aussi beaucoup contribué à mon retard dans mon travail.  J'ai aussi plusieurs "chantiers" lancés cette année avec comme date butoir une réunion "VIP" à la rentrée. Je ne peux jamais dire pour qui je travaille mais pour info, je dois aussi lire la presse tous les jours, si ça peut vous orienter. Et d'ailleurs aujourd'hui, c'est le brans-le bat le combat suite à un article !

Aussi, j'avoue qu'avoir la quasi certitude (j'attends cette fameuse notification définitive prévue annoncée fin juin) de changer de job me rassure aujourd'hui. Disons que le management sera à moindre dose, j'ai décidé de descendre d'un ou deux barreaux de l'échelle d'avancement, un choix personnel, lié à la nécessité de retrouver une vie privée, disparue depuis la prise de mon poste actuel il y a deux ans et demi. Je n'ai plus aucune activité culturelle, sportive. Je rentre le soir, exténuée, avec toujours ma sacoche de documents à lire, notes à écrire et je m'empaffe joyeusement à même pas minuit ... Je rêve de faire à nouveau du cheval, du théâtre, et du sport !



Et même si je reste cadre, avec évidemment un agenda qui va être largement contaminé par des dizaines de réunions, certaines répétitives, j'aurais, j'espère, la possibilité de consacrer plus de temps à mes dossiers, effectuer un véritable travail de fond. Pour information, je change complètement de domaine d'activité et je vais donc devoir "tout réapprendre" mais je suis une étudiante à vie, donc je ne stresse pas trop. C'est étrange cependant aujourd'hui de travailler sur certains dossiers en sachant que je vais les laisser à quelqu'un d'autre d'ici peu.  Il ne sait pas ce qui l'attend. 

Pour en revenir à "mon coup de stress", il est lié donc à ce retard et s'est manifesté par l'impossibilité de trouver le sommeil la nuit de samedi à dimanche, puis passer la journée de dimanche effondrée sur le canapé - incapable d'avaler quoique ce soit. Finalement la fatigue m'aura permis de faire une nuit complète du dimanche au lundi, avec un ventre toujours aussi noué, je suis allée travailler. Le midi, ma sœur, compatissante m'avait emmené acheter de l’homéopathie et m'avait fait prendre deux pilules. Et comme pour les médicaments, je réagis au quart de tour, une drôle de sensation m'a envahie et m'a sans doute aussi permis d'annoncer la nouvelle très calmement à mon chef, qui aura pris la nouvelle, sans sourciller !  Car conscient de ma surcharge de travail, il a confié récemment deux missions à deux autres agents.  Une fois l'aveu fait, une sensation étrange d'apaisement a parcouru mon corps (même si le dossier reste en souffrance) comme après un injection de morphine :-)

Lundi soir, j'ai hésité, mais sachant que j'avais réunion mardi matin avec les porteurs du dossier, j'ai repris deux petites pilules - un peu tard, je l'avoue (vers minuit). Mardi matin, stressée, je n'ai rien pu avaler et devant prendre la route très tôt, sous la pluie battante, je sentais encore leurs effets calmants. Fort heureusement, on a commencé par une visite et lorsque la réunion a commencé vers onze heures, le ciel de mon cerveau s'était éclairci ! J'avais prévu des M&Ms pour ne pas faire de crise d'hypoglycémie (le temps du retour, j'ai déjeuner à 13h45). 

La prochaine fois : j'en informerai mon chef immédiatement et j'en parlerai plus volontiers autour de moi, c'est étrange car que je suis très franche au quotidien et j'aime faire face aux défis, mais comme pour beaucoup, être surchargé de travail, fatigué tous les soirs, modifie parfois bizarrement votre comportement et vous entraine dans des situations ubuesques.  Je travaille dur, et la plupart du temps, je gère bien ma charge de travail, je suis rapide, consciencieuse, hors là, c'était comme si tout m'échappait.

J'imagine ne pas être la seule à vivre cela, et comme ce cher journaliste l'expliquait hier soir, travailler dans des conditions difficile a un impact direct sur la productivité (un cabinet aurait calculé que cela pouvait se traduire par une perte de 23% de cette dernière entrainant une hausse de l'absentéisme). Mon cher directeur général a bien mentionné la pression exercée sur les cadres et qu'il avait trouvé une solution, mettre à disposition de ceux qui le souhaitent un médecin pour pouvoir sans doute nous prescrire de jolies pilules, à défaut de revoir son organisation.

Ma conclusion ???  Je veux des minions pour m'épauler, pas vous ??? !!!!





10 juin 2013

Limonov

J'avais, dès sa sortie en librairie, eu envie de lire le dernier écrit d'Emmanuel Carrère, Limonov. Je connais le romancier français, j'ai lu D'autres vies que la mienne et L'adversaire, entre autres.

Fils de la célèbre soviétologue et académicienne Hélène Carrère d'Encausse, il a grandi entouré par une famille, russe blanche d'origine et a voyagé avec sa mère en Russie à plusieurs reprises, croisant sur sa route des personnalités russes qu'il retrouvera dans la vie d'Edouard Limonov, l'homme dont il a souhaité raconter la vie ici. Limonov, impossible de résumer la vie de cet ukrainien, né pauvre, poète et romancier, avide de reconnaissance, portier à New York, combattant auprès des Serbes pendant la guerre en ex-Yougoslavie, opposant dès la première heure de la politique de Poutine.

Carrère nous entraine dans la vie de cet homme, qui s'est construit une vie (Limonov, nom créé de tout pièce) et a consacré son temps à la réécrire, dans des romans qu'affectionne l'auteur français. Après trois semaines d'entretien à Moscou, Carrère nous offre ici un livre, dont on ne saurait dire s'il s'agit d'une bibliographie, un roman ou un essai, car la vie de Limonov, c'est tout simplement la vie de la Russie depuis la seconde guerre mondiale, magnifiée, maquillée, réinventée par cet homme aux mille visages. Attention, le roman prend parfois des route sinueuses qui peuvent déconcerter un lecteur non averti.

Le lecteur va ainsi voyager dans le temps, à travers les secrétaires du parti, de Staline à  Brejnev, de Kroutchev, de Eltsine à Poutine, Carrère vous invite dans cette Russie des pauvres, la Russie oubliée - celles de ses millions de citoyens, exilés dans des villes autrefois prospères, oubliés de tous, qui croupissent en rêvant du temps passé, du temps des communistes, où tout était disponible, partagé sauf bien évidemment la liberté.

Carrère explique qu'il ne souhaite pas porter de jugement personnel sur le personnage (c'est bien une personne réelle, mais il s'est créé un personnage qu'il présente à la presse) de Limonov, mais difficile pour le lecteur de rester indifférent aux choix extrémistes de cet homme, avide pour moi de reconnaissance, de célébrité, qui comme le communisme
condamnait le culte de la personnalité, mais rêvait de voir son portrait peint et affiché dans toutes les rues. Poète et écrivain de génie, politicien raté, il court après le passé glorieux de la Russie comme on court après nos souvenirs d'enfance, en sachant que jamais nous ne les retrouverons.

Ce qui est formidable pour le lecteur, c'est le cours d'histoire magistral qui est offert par Carrère, dont on reconnaît ici l'incroyable science transmise par sa mère. La culture russe est ici racontée au lecteur, et moi qui ait étudié l'histoire russe depuis son premier Tsar, et la langue russe pendant cinq ans, j'ai pris énormément plaisir à suivre les aventures rocambolesques d'un homme qui n'a cessé de courir après un rêve.

Je ne finirais pas ce livre en vous disant que j'aime Limonov, car pour avoir malheureusement connu de trop près la guerre en Ex-Yougoslavie, j'ai compris que jamais je ne comprendrais cet homme qui frôle souvent de trop près le fascisme et toute sorte d’extrémisme.

Limonov m'a fait penser à un oiseau, un colibri, dont les battements d'aile très rapides provoquent un son, comme une légère musique. Cet oiseau a une aura magique, difficile à attraper, il attise toutes les curiosités mais comme l'animal, il reste incompris et indomptable.

Petite anecdote amusante, j'ai fini de lire ce livre samedi après-midi. Une heure avant, je me promenais sur twitter, lorsque j'ai lu le dernier tweet d'une actrice que j'aime beaucoup, (et qui aime aussi lire) Clémence Poésy : "Ce sont des loques. Ce sont des rois. Ça d’accord, ça lui va."
Ignorant d'où provenait ses mots, je rentre donc chez moi et me plonge dans les dernières pages du récit de la vie fantastique de Limonov, lorsque j'arrive à la dernière page et que je tombe à nouveau sur ces mêmes mots :

"Ce sont des loques. Ce sont des rois. Ça d’accord, ça lui va."

Poésy citait donc le même jour les mots de Carrère. Je l'ai évidemment retweeté et je vous invite à comprendre le sens de ces mots en achetant le livre.

07 juin 2013

The Friday Story




Copyright Robertus Pudyanto/Barcroft/Landov

Chaud chaud ! Il fait 27°c à l'ombre et pas une once d'orage ! Quelques petites nouvelles de nos amies les bêtes ...

Meet Pui ... faites la connaissance de Pui, ce chien thaïlandais a du flair ! Pui habite le quartier de Tha Rua à Bangkok lorsqu'il a s'est mis en tête de récupérer un sac plastique blanc dans une poubelle. Une fois attrapé, le chien l'a rapporté sur le patio de sa maison et a commencé à aboyer très fort. La jeune nièce de son propriétaire, âgée de douze ans est venue voir ce qui rendait le chien nerveux et a découvert à l'intérieur du sac plastique un nouveau-né (une fille) encore en vie !
Le propriétaire, Gumnerd Thongmak et sa nièce, Sudarat ont évidemment emmené l'enfant de toute urgence à l'hôpital local. La petite fille est née prématurée, et pèse à peine deux kilos. Depuis, elle a été transférée dans un autre hôpital, mieux équipée pour s'occuper d'elle.


                                                                            


Et Pui, alors ? Et bien, le Bangkok Post nous apprend que lundi, il a reçu un superbe collier en cuir avec une médaille offerts par la Croix Rouge du quartier en remerciement et la fondation Le Miracle de la Vie a même remis un joli chèque de 300$ à son propriétaire ! Les habitants du quartier ont indiqué n'être pas surpris, car Pui est connu dans le quartier pour ses rondes. 

J'étais en Thaïlande l'an dernier, et dans un refuge pour animaux sauvages, qui menait parallèlement toute une campagne de vaccination et de stérérlisation des chiens, car en Thaïlande, ils sont des milliers, certains vivent en meute à l'entrée des villages et peuvent être agressifs. Le centre avait recueilli une vingtaine de chiens, et je ne peux pas m'empêcher de penser à eux aujourd'hui. Ils étaient tous adorables, ma préférée Katie, avait été sauvée lors des inondations de Bangkok. A noter, fort heureusement, que beaucoup appartiennent à une famille et dans les grandes villes, on trouve même des toutous frisés aux vernis rose ! Mais en campagne, ils sont souvent victimes d'agressions physiques très violentes. Et un volontaire est même parti à Koh Lanta, dans un refuge créé uniquement pour s'occuper des chiens, victimes de violences.


Pour continuer la bonne parole, et vous parler d'une espèce que j'ai soignée en Thaïlande, une petite vidéo sur un gibbon.. les rois de l'équilibre ! Pou info, Siam filmé ici, vit dans un refuge pour singe en Afrique du Sud.




Et pour définitivement asseoir la domination des animaux sur l'homme, voici un chat qui vous prouve une fois de plus, que même en gymnastique, ils sont meilleurs ;-)




Bon week-end ! Have a nice week-end ! 素敵な週末を!







05 juin 2013



Il fait beau ! ça donne envie de danser comme la jolie Anna May Wong à Picadilly en .. 1929 !

03 juin 2013

My addictions of the week



Au menu cette semaine s'il vous plaît : Daft Punk, Homeland, Benedict Cumberbach, Zooey Deschanel, Miss Fisher.


Mes drogues culinaires



Vous l'aurez deviné, avec le retour du soleil, on a tout de suite envie de fraicheur, et une salade simple de tomates, avec des herbes fraiches, de la mozzarella, du citron vert  et le bonheur est dans le pré !

PS : cuisinée et avalée toute entière ce midi

Mes drogues télévisuellesJe vous bassine avec le retour d'Homeland, prévu jeudi prochain sur Canal - et les quelques extraits diffusés me donne encore plus envie de revoir le doux visage de Claire Danes.

Comme de retrouver la série complètement déjantée de Canal, Working Girls. D'excellents fous rires en perspective !


Je suis curieuse de découvrir sur France 3, demain soir, une série policière avec comme héroïne, une jeune femme, détective privée, Miss Phryne Fisher, à Melbourne à la fin des années 20. "Miss Fisher enquête" sera donc diffusée le dimanche soir (à coup de trois épisodes). Malheureusement, je crains qu'une fois de plus, seule la version française soit disponible.  Après Gatsby le Magnifique, les amoureux comme moi de cette période Art déco, auront donc plaisir à retrouver cette période très excitante.
Vendredi prochain (7 juin), je regarderai une fois de plus Arte, qui ne cesse de diffuser d'excellents programmes, pour voir Parade's End, une série britannique qui met en scène Benedict Cumberbach (l'acteur interprétant Sherlock Holmes, série diffusée en France qui, je crois n'avais pas rencontré le succès escompté).

L'histoire raconte la vie de  Christopher Tietjiens (B.Cumberbach), marié à Sylvia (Rebecca Hall, vue dans The Town) qu'il a épousé enceinte d'un autre et qui n'éprouve que mépris pour lui. Il va s'éprendre d'une suffragette alors que la première guerre mondiale approche et que bientôt toutes leurs vies vont être chamboulées.  A noter la présence de Miranda Richardson et de Rupert Everett. Bref, j'ai hâte d'être devant mon petit écran.

Vous l'aurez remarqué, on n'aura jamais autant été baigné dans l'atmosphère de la première partie du 20ème Siècle.

Mes drogues musicales

Comme beaucoup, et avec du retard, je découvre le dernier album des Daft Punk. Critiqué par certains de leurs fans, encensés par la presse et numéro un à travers le monde, j'ai pris le train en marche et je ne regrette pas ! Il faut dire que j'avais déjà parlé d'eux dans mon billet sur le film Tron (où j'avais adoré leur présence, et leur musique). Pour en profiter au maximum, j'ai décidé de télécharger leur album et de les écouter le soir, en promenant ma saucisse. J'ai déjà écouté plusieurs titres, et j'aime beaucoup Contact.

Comme je vous soûle avec mon amour pour les musiques de film, j'étais ravie de voir la collaboration entre les Frenchies et Giorgio Moroder (l'auteur précurseur du synthé avec la bande-originale du film Midnight Express, un classique) qui l'ont invité à raconter sa vie dans un de leurs titres (Giorgio by Moroder). 






J'aime donc la musique électro française, Bruce Springsteen, Pearl Jam, Alice in Chains, mais aussi... She & Him !
 

J'avais déjà écrit, je crois, un billet sur ce duo américain composé de Zooey Deschanel et M.Ward. J'avais adoré leur premier album (Volume one), un peu moins le deuxième (Volume 2) et je viens de découvrir le troisième (Volume 3), avec grand plaisir.

Zooey peut énerver, mais force est d'avouer qu'elle possède une voix hors du commun, et j'aime le travail qu'elle accomplit ici, leur musique est légèrement décalée, on y retrouve les années 50 ou 60 mais avec une touche contemporaine.  Je vous conseille vivement d'écouter leur premier album. Elle énerve certains internautes par son côté "lolita" mais j'aime la manière dont elle a décidé d'assumer sa douce folie, et puis je l'avoue, elle a des cheveux sublimes ! 

Leur premier titre a un goût de sucette à la fraise, parfait pour ce temps ensoleillé ;-)





Bonne semaine à tous !

02 juin 2013

A quiet Sunday


Le soleil est de retour ! Les terrasses sont pleines de gens heureux et les oiseaux chantent à tue-tête, le printemps arrive, en retard, mais il est bien là.

Ma petite saucisse a droit à plein de promenades et en profite pour se faire admirer, papouiller par plein d'inconnus, enchantés par sa petite taille et son poil brillant. Encore aujourd'hui, deux personnes m'ont arrêté et pendant dix minutes n'ont cessé d'encenser mon chien. J'imagine qu'elle vit ce que les stars de cinéma vivent tous les jours, et pour l'instant, elle n'est pas encore blasé ;-)

Bon dimanche à tous !