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31 octobre 2013

My addictions of the week


weheartit.com
Source : weheartit.com

Au menu cette semaine : Albator le film, Placebo, Mad Men, The Paperboy, Laura Kasischke, GHB le film, Clémence Poésy, soupe, Nous York, Mirwais, Nicole Kidman, Top of the Lake, rhume, Gravity, Les Utopiales, etc.

Tunnel

Je vous ai déjà parlé de cette série qui sera diffusée mi novembre sur Canal + avec Clémence Poésy et Stephen Dillane. J'ai eu l'occasion de voir le premier épisode cet après-midi. Les avantages d'être chez soi avec la crève ....

La série Tunnel est l'adaptation d'une série suédo-danoise
Broen/Bron (le pont). L'histoire est transposée dans le tunnel sous la Manche (filmé pour de vrai), où le corps d'une députée française est retrouvée sur la ligne exacte de démarcation entre la France et l'Angleterre, mais alors que la police française (Clémence Poésy) s'approprie l'enquête, ils découvrent que le corps est scié en deux ... le haut du corps en France, le bas en Angleterre. Mais la surprise viendra de l'autopsie, où Élise découvre que le bas du corps appartient à une autre femme, anglaise de surcroît. Les deux polices vont alors être obligés de coopérer.

D'un côté Élise Wasserman, très sérieuse, à a limite psychorigide et de l'autre
Karl Roebuck (Stephen Dillane), le flic anglais plutôt décontracté, marié et père de cinq enfants et à l'humour so british. Je sais que l'actrice française a refusé de voir la série originale pour ne pas être influencée, par contre, je pense que j'aurais envie de la voir après. Un peu comme pour Millenium, où je regarde la série originale suédoise et l'adaptation cinématographique américaine sans souci, parce que c'est l'histoire que j'aime tant.

Verdict ? J'avais un peu peur d'être déçue vu le buzz autour de cette série (et puis vous l'aurez remarqué, j'adore Clémence Poésy) - mais non ! La série tient pour le moment toutes ses promesses. Pas de tant mort dans le premier épisode. Si on ne peut s'empêcher de penser à d'autres séries (scandinaves pour ma part), on ne s'ennuie pas une seconde et les acteurs tiennent la route. L'action se passe à Calais et Sandgate, et si la côte british est lumineuse, la ville française offre la même atmosphère que ces villes nordiques froides et mystérieuses.

Et puis j'aime beaucoup le fait que cette série soit européenne et qu'on puisse ainsi passer de l'anglais au français, et qu'on joue sur les différences entre nos deux cultures.

Reste à attendre les autres épisodes. 







29 octobre 2013

Gravity

Je ne vais pas écrire un long billet sur ce film, tout d'abord parce que l'histoire tient à un fil et qu'il s'agit d'un film qui agit sur les émotions, et puis je préfère que vous alliez le voir ...

J'avais prévu de le voir samedi dernier, mais une mésaventure m'en a empêché (pourtant j'étais assise dans la salle). Bref, je suis donc retournée aujourd'hui, je vais très rarement au cinéma l'après-midi mais je ne pouvais plus attendre. J'avais tellement entendu parler de ce film, et je l'avoue ....


27 octobre 2013

A quiet Sunday

Quel changement d'horaire ! Réveillée à 7h, non 6h du matin.. par mon chat, pas encore réglé à l'heure d'hiver et par la tempête ! Le vent soufflait à 94 km/h, la pluie tombait violemment, en ouvrant un peu les volets, un éclair a pénétré le salon et le tonnerre a fait fuir tous les mimis. Miss météo nous annonce pour ce soir des vents de 100 km/h...

Bref, autant dire que j'apprécie de pouvoir rester chez moi, au chaud, à dormir... mon dernier jour au travail c'est demain. Et la semaine a été éprouvante, d'où mon absence ici.

Soyez prudents si vous êtes sur la route, rentrez vos jardinières, fermez bien vos volets. Moi, je rentre les bougainvillées.

Une petite photo pris hier soir quand le vent s'est levé.

Bonne fin de week-end à tous !

21 octobre 2013

9 mois ferme

J'ai longtemps tergiversé avant d'aller voir le dernier film d'Albert Dupontel, Neuf mois ferme. Pourquoi ? Difficile de répondre, en fait avec Albert, c'est du 50/50 - 50% je l'aime / 50% il m'énerve.  Pourquoi ? Parce que je l'ai vu dans un film dramatique en 2008 où il interprétait comme personne un homme se sachant condamné qui préférait partir au loin avant la fin. Le film de Becker (Deux jours à tuer) m'avait bouleversé et prouvé ce jour-là qu'Albert Dupontel est un acteur extrêmement talentueux, et comme une mère fière de son fils, je ne supportais pas de le voir à nouveau interpréter des personnages méprisables, bêtes et méchants (Le vilain).

Mais cette fois-ci, il m'a bien surpris le coquin : il a réalisé avec Neuf mois ferme une comédie douce-amère qui laisse place à la tendresse, et je me suis laissée emporter avec plaisir dans cette drôle d'histoire.

Et pourtant, ce n'était pas gagné...
Car je me souviens avoir vu la bande-annonce il y a plusieurs semaines et l'avoir détestée.

20 octobre 2013

A quiet Sunday

Oops .. j'ai presque oublié mon billet du dimanche !

Que dire ? A la faveur de l'automne, le soleil a pointé le bout de son nez entre deux averses et j'ai mangé des langoustines et bu du champagne.

Et voilà je ne vous dirais rien de plus... non non non !



Bonne fin de week-end !



18 octobre 2013

Tic tac tic tac...


Tic tac tic tac... the final countdown ! Souvenez-vous,
je vous avais déjà embêté ci et avec mon changement de job.

Bref, bonne nouvelle : je compte désormais les jours ... 6 petits jours et je dirai définitivement au revoir à presque trois ans de ma vie ! Pour un nouveau job, nouveau métier, nouvelles missions, nouveaux collègues, nouveau lieu de travail (mon côté décoratrice d'intérieur et vendeuse de papeterie trépigne de joie)
Bien m'a pris, j'ai écrit ce billet il y a deux jours déjà mais j'ai réussi à supprimer le brouillon ce matin. Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrr.... mais revenons au sujet : pourquoi quitter un poste à responsabilité que j'aime ?

C'est que j'ai un gros défaut, comme beaucoup : j'ai une conscience professionnelle très développée. Et à chaque nouveau job, je plonge.. je m'investis sans compter les heures, j'avoue : j'aime être la dernière à partir le soir, j'en fais toujours trop. Résultat : j'en oublie ma vie personnelle. Et ce dernier job m'a totalement happé. Je n'ai rien vu la première année, la deuxième j'ai commencé à réalisé, la troisième j'ai donc fui. Je pense avoir pris la bonne décision, et voir une nouvelle "super chef" partir deux bonnes heures avant moi depuis qu'elle est arrivée il y a un mois, j'ai pris conscience du problème.

http://www.mbpgsa.ca/mbpblog/2010/05/breaks-burnout/


Ce défaut de m'investir totalement a eu le même résultat sur ma vie personnelle lorsque je me suis investie dans le milieu associatif, donc depuis je fais un peu marche arrière.

Je sais déjà que mon nouveau métier va aussi être très prenant (on me bombarde de mails depuis une semaine), mais un peu plus éloigné des sources du "mal" que le premier dirons-nous. J'aurai aussi moins de responsabilités. Je ne peux pas expliquer ce métier, disons que les commanditaires sont les mêmes, mais je change de job. J'espère ainsi retrouver un rythme de vie plus normal, plus sain. Marre de rentrer chez moi si tard, et ne pas profiter du reste de ma vie. J'adore travailler, j'aime mon métier actuel et il va me manquer, mes collègues aussi. Mais là, j'ai besoin d'une pause.

Évidemment, j'ai aussi choisi un métier où il faut être sur le qui-vive et qui demande un certain investissement, je l'ai déjà exercé il y a longtemps et je dois à nouveau me former car il a énormément évolué. Mais j'aime les challenge : la preuve, j'ai encore accepté hier une nouvelle mission à la liste déjà longue. La com', ça se refuse pas. Bref, dans quelques temps, j'en aurais sans doute marre. Si vous avez lu mes autres billets, vous savez que je m'ennuie vite, et que je change de métier tous les trois ans.. même pas peur !

Ce que m'a dit une amie cette semaine, "..dans deux ans, tu seras déjà repartie vers un autre job". Je ne regrette pas d'avoir posé quatre jours de congés pour faire la transition. Bon, comme j'adore le changement, je suis déjà toute excitée !

Oui, j'avoue, je suis comme le gamin à qui on offre le jouet de ses rêves à Noël et qui va jouer avec jusqu'à le connaître par cœur, et finira par ne plus le regarder, ou pire le casser.

Sur ce je vous laisse, avec évidemment la super musique que j'ai dans la tête depuis que j'ai cité ces quelques mots anglais !






16 octobre 2013

My addictions of the week



Au menu cette semaine : Dexter, Scandal, Traque en série, crêpes, Camilla Läckberg, Holly Siz, La vie d'Adèle,  pancakes, Le Cercle, Zombie Walk à Nantes, etc.

Première journée de pluie non stop - vous savez ce crachin qui ne cesse jamais ? Une journée idéale pour aller visiter un chantier de construction en cours. Heureusement, j'avais enfilé une paire de vieilles chaussures. J'ai regretté de ne pas avoir pris mes bottes, ah la gadoue ! la gadoue !

Vous aurez reconnu notre Joan nationale, vivement le retour de Mad Men !

14 octobre 2013

Prisoners

J'ai eu envie de voir Prisoners, lorsque j'ai lu une critique qui parlait d'un croisement de Seven et de Mystic River. J'avais adoré ces deux films (et le livre éponyme de Denis Lehane). J'ai vu quelques images, où j'ai découvert le casting et l'atmosphère et j'ai profité d'une matinée pluvieuse pour aller passer 2h33 en compagnie de Jake Gyllenhaal, Hugh Jackman et Melissa Leo, entre autres.


L'histoire est simple : deux familles, voisines, fêtent ensemble Thanksgiving. Il y a la famille Dover, avec Keller (Hugh Jackman), le père, un américain qui croit à la fin du monde, et a aménagé sa cave en local de survie, sa femme (Maria Bello), son fils, adolescent, et leur fille Anna, sept ans. Celle-ci s'amuse avec Joy, du même âge, fille de leurs hôtes, les Birch (Terrence Howard et Viola Davis) qui ont aussi une fille adolescente. La journée passe, le repas, le match de foot - leurs parents croient les fillettes parties chez les Dover avec les ainés, mais lorsque Keller Dover découvre que ce n'est pas le cas, il s'inquiète. De retour chez lui, sous une pluie battante, il trouve la maison vide. Les filles ont disparu....


Il pleut, il neige, il fait froid et nuit très tôt - l'atmosphère est terriblement sombre et le spectateur est plongé dans un monde d'une noirceur profonde. Chargé de l'enquête, un flic un peu étrange, Loki (Jake Gyllenhaal), est chargé de l'enquête. Persuadé d'avoir trouvé l'auteur (le suspect avait garé son camping-car dans la rue et les fillettes avaient joué autour), il l'arrête, mais le jeune homme, Alex Jones (Paul Dano) ne parle pas, et a dix ans d'âge mental. Sa tante (Melissa Leo) vient le chercher après deux jours de garde à vue où il n'a rien avoué. Keller Dover est cependant convaincu qu'il est coupable, aussi lorsqu'il est libéré faute de preuves, Keller va employer les moyens forts. De son côté, Loki enquête et découvre une autre victime, assassinée par un curé pédophile. 


Que dire ? Sinon, que j'ai beaucoup aimé ce film tout autant que j'ai tremblé et souffert, car on souffre ! Pas uniquement avec les parents, ému par la douleur des mères privées de leurs enfants, par le désarroi des autres enfants, sacrifiés par leurs parents - mais on souffre aussi aux côtés du troublant Alex Jones, et comme Dover, le spectateur reste dans le doute, coupable ou innocent ? 

La ville entière devient un lieu sombre et maléfique, les pédophiles sont partout, le seul point lumineux était le rire des enfants qui ont disparu. Le rythme est voulu lent, le film est long (2h33) - mais je crois qu'ici tout est calculé - le spectateur doit comprendre l'enfer de ces familles, du temps qui passe sans apporter de réponses.

J'ai beaucoup aimé la réalisation, le grain de l'image, le choix des images, et surtout la musique, ou disons le fond sonore - ainsi ce sont comme des coups de semonce qu'on entend le matin suivant la disparition des enfants, lorsque le réalisateur zoome sur la maison de l'effroi. J'ai été saisie par ce sons sourds, comme des coups de massue.

J'ai beaucoup aimé le personnage du détective, confronté à un crime dépassant tout ce qu'il a toujours connu et qui ne cesse de trouver des ramifications et d'autres victimes.

J'ai sans doute vu et lu trop de thrillers, ainsi  par deux fois j'ai fait le lien, entre une victime et une personne disparue, entre un enfant kidnappé et un adulte mais je n'aurais jamais imaginé cette fin ! Et même si le film est plutôt d'une facture classique, le mauvais temps, filmé de nuit, il en reste néanmoins passionnant. Et même si vous parvenez à comprendre comme moi, le suspense ne disparait pas, bien au contraire - le scénariste nous entraine vers une autre piste et la fin est vraiment surprenante, et unique en soi.
Honnêtement, j'ai été comme hypnotisée la dernière demi-heure du film lorsque la vie de Keller bascule de nouveau.

Et la dernière scène restera pour moi la meilleure scène finale d'un film vue depuis des années au cinéma !


Jake Gyllenhaal est épatant dans le rôle du flic, il interprète cet homme porteur d'une mission divine  (sauver des enfants), tout en ressemblant plus à un avocat du diable avec sa chemise toujours boutonnée, ses cheveux gominés, ses doigts tatoués. J'aime ses choix de film, ainsi ai-je vraiment aimé ses prestations dans Brothers, Jarhead, ou le secret de Brokeback Mountain - il joue avec humilité et discrétion. Étrangement, c'est lui qui m'a le plus marqué dans le film. 

Tout le casting est parfait, j'ai été suprise de voir Maria Bello en tant que mère totalement épleurée, Viola Davis a cette présence toujours aussi intense. Hugh Jackman campe un personnage pour lesquels j'ai eu des sentiments mitigés tout le long du film, mais c'était voulu, ainsi cet homme qui protégeait sa famille de tout, est aussi faillible que les autres, et n'aura pas su protéger sa fille. L'histoire lui rend finalement justice à la fin. L'acteur australien n'est plus Wolverine, et son interprétation est très juste.

Enfin, je ne peux pas finir ce billet - en vous encourageant vivement à aller voir ce film - sans parler du talent de Paul Dano, dont le visage m'avait déjà troublé à l'époque de The Little Sunshine - il réussit un tour de force en campant ce jeune homme soupçonné du pire.  Enfin, un mot sur Melissa Leo, que j'aime beaucoup - qui continue de prouver qu'elle est définitivement indispensable au cinéma.

Mon avis :

13 octobre 2013

A quiet Sunday

J'efface rarement un billet, mais le précédent ne collait pas avec, disons-le, ma ligne éditoriale (je ris en écrivant ces mots). Pour les rares lecteurs qui l'auraient lu, ne vous inquiétez pas, j'ai passé une excellente journée et j'ai regardé une nouvelle fois avec plaisir A lullaby for Pi.


Bonne fin de journée à tous, et excellente semaine !



11 octobre 2013

Sir Robin Wright


Je ne pensais pas écrire de billet à son sujet, mais voilà un internaute l'a décrite comme "has been"  or pour moi c'est tout l'inverse : elle a su mené sa carrière avec intelligence, discrétion et persévérance. Aujourd'hui elle continue de nous surprendre et de mener une jolie carrière, je parle de la sublime Robin Wright

Quand je parle d'elle autour de moi, on me parle souvent de deux rôles :  lorsqu'elle interprétait le personnage de Kelly dans le soap opera Santa Barbara et son rôle de Buttercup (Bouton d'Or) dans le devenu classique Princess Bride.

Sa carrière, fort heureusement ne se résume pas qu'à ces deux films - vous aurez sans doute oublié, aussi laissez-moi vous rafraichir la mémoire.


Née Robin Virginia Gayle Wright à Dallas le 8 avril 1966, elle grandit à San Diego en Californie. Dès l'âge de 14 ans, elle devient mannequin et défile à Paris et au Japon, puis à 18 ans se tourne vers le cinéma. C'est la télévision qui lui offre son premier rôle, celui de la douce Kelly Clapwell, elle y rencontrera son premier mari (le mariage n'aura duré que deux ans). Elle a déclaré y avoir appris le métier, même si elle ne souhaite pas y faire carrière. C'est en lui offrant le rôle de Buttercup dans The Princess Bride que Rob Reiner l'a fait définitivement entrer dans la lumière. Nous sommes en 1987. Elle met fin à son contrat et se tourne définitivement vers le cinéma.

Je me souviens d'elle dans le sublime State of Grace (Les anges de la nuit), en 1990 où elle fait la connaissance d'un certain Sean Penn, le film est empreint d'amertume et de tristesse (Le casting est irréprochable : Gary Oldman et Ed Harris). Les deux acteurs tombent amoureux. Vous connaissez la suite.


Elle interprète une femme libre dans Playboys (avec Aidan Quinn) en 1992. Elle enchaine les rôles, et en refuse autant qu'elle en interprète (près de 14 refus!). Elle devient Moll Flanders en 1995, après avoir joué face à Nicholson dans le très sombre Crossing Guard en 1994. La même année, elle joue dans un film devenu culte : Forrest Gump, y interprétant la fameuse Jenny dont Forrest est amoureux toute sa vie.

L'actrice privilégie un temps sa vie privée (deux enfants) et tourne dans des films indépendants, dont le magnifique She's so lovely en 1997, toujours avec Sean. Elle enchaine les petits rôles, elle ne soucie ni de la gloire, et se méfie de la célébrité. Le couple a d'ailleurs quitté Los Angeles et leurs enfants sont élevés loin d'Hollywood.

Elle joue ainsi dans le mélo  Une bouteille à la mer avec Kevin Costner et le grand Paul Newman
(qui n'a pas versé une larme à la fin ?).

Elle reviendra au cinéma par la petite porte, en jouant dans plusieurs films dont La maison du bout du monde et The Pledge, un film réalisé par Sean Penn avec Jack Nicholson.

Séparée de son mari - elle retrouve sa liberté dans la vie et au cinéma dans Les vies privées de Pippa Lee, où elle séduit Keanu Reeves - j'ai adoré ce film ! Il faut que je me procure le DVD. 

Elle est également Erica, l'éditrice et l'amante de Mikael Blomkvist dans Millenium et l'amante de Russell Crowe dans Jeux de Pouvoirs, deux de mes films préférés. Elle accumule les seconds rôles mais toujours avec talent et tact.

Les réalisateurs l'ont compris et se l'arrachent, ainsi 2013 est son année : elle joue dans mon film Perfect Mothers et ma série coup de cœur, House of Cards.



Ok - j'ai compris pourquoi je n'aime pas qu'on la critique, elle joue dans tous mes films préférés ! Je ne l'avais pas réalisé. J'ai vu Millenium et Jeux de Pouvoir une dizaine de fois, idem pour Princess Bride.

Son talent est si naturel qu'on le remarque à peine, ma sœur lui trouve une certaine froideur, moi je crois qu'elle est pudique.

J'aime tout en elle - la manière dont elle a su aborder la cinquantaine, sa discrétion et cette classe. Un point commun avec Michelle Pfeiffer.

Et surtout ses choix cinématographiques, pour une actrice has been, j'aimerais beaucoup avoir sa carrière, non ?

08 octobre 2013

Blue Jasmine


Cela faisait très longtemps que je n'avais pas vu un film de Woody Allen - quand je dis longtemps, cela doit faire au moins cinq ans. J'ai entrevu quelques extraits (sur Canal +) de ces derniers films comme Midnight in Paris ou Vicky in Barcelona, mais aucun ne m'intéressait vraiment. Et puis est venu Blue Jasmine - j'ai lu quelques critiques, et surtout j'ai vu la bande-annonce et là, j'ai su immédiatement que je verrai le film. 



05 octobre 2013

My addictions of the week



Un très long billet avec l'arrivée de Canal + Séries, Utopia, Scandal, la fin de House of Cards, l'arrivée cet automne de Tunnel (série franco-britannique avec la jolie Clémence Poésy), Top of the Lake sur Arte et le retour de Mad Men, la nouvelle bande-annonce de la suite de Bilbo The Hobbit, bref de quoi occuper nos longues soirées !

02 octobre 2013

Bienvenue dans l'i0S 7

Je suis plutôt prudente de nature, aussi chaque nouvelle version du système d'exploitation de la Pomme me fiche toujours un peu la trouille. Alors quand la sortie d'iOS 7 a été annoncée partout, j'ai longuement hésité.

Mon iPhone a déjà deux ans, c'est un 4S blanc que j'aime beaucoup. Les nouveaux sont encore chers (même avec tous les points cumulés) et puis je n'ai pas envie de payer un forfait mensuel de 50 € ! Je profite de mon petit forfait et j'utilise surtout le wifi (merci les amis et la famille pour les codes). 

Je suis allée sur les sites habituels pour lire l'avis des internautes qui avaient fait la bascule, et là gros doute ! De nombreuses critiques, sur la forme et le fond. Et pourtant j'ai fini par me lancer, et voilà ..