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05 mai 2012

My so-called life


Comme Marlon, j'ai retrouvé le sourire ;)

Je dois toujours écrire ce billet sur le dernier volet des aventures de Kurt Wallander, mais difficile de dire adieu à celui qui m'a accompagné ces derniers mois. Mais aujourd'hui j'ai trouvé mon bonheur :


Je me répète mais je suis l'une des plus grandes fan d'Arnaldur Indriðason, et de son héros policier, Erlendur. Après avoir sorti deux romans à la suite, pour le plus grand plaisir de ses lecteurs, Indriðason nous a laissé sans nouvelles d'Erlendur, disparu dans les fjords islandais depuis plus d'un an et demi. Entre temps, son éditeur avait eu la bonne idée de ressortir un roman écrit il y a longtemps, Bettý (cf. mon billet). Je me souviens que ma mère et bon nombre de personnes avaient cru à la suite des aventures d'Erlendur, ce qui n'était absolument pas le cas (même si l'auteur y faisait référence une fois). Bref, je vous ai plusieurs fois fait part de mon impatience... ou plutôt de cette attente forcée et là enfin ! La muraille de lave. Si Erlendur est apparemment toujours porté disparu, on retrouve ses deux collègues, et cette fois-ci on s'attache à suivre le jeune Sigurdur Oli (la dernière fois, on suivait les aventures d'Elinborg, la fine cuisinière) dans plusieurs affaires. Voilà, j'ai acheté le livre et depuis, je l'ai là, entre mes mains, je le regarde, comme un enfant à qui on offre sa friandise préférée.

J'attends ce soir, d'être confortablement installée dans mon lit pour commencer ma lecture. Et quel pouvoir, cet islandais ! Depuis que j'ai rapporté son livre, les nuages et la pluie ont laissé place au soleil ;)

J'ai profité de cet achat pour me procurer un autre roman, élu Meilleur Polar étranger 2011 par le magazine LIRE  Tijuana Straits de Kem Nunn. Je ne connais pas ce romancier qui signe ici son quatrième roman, mais la quatrième de couverture m'a convaincue et la critique de Christine Ferniot m'a donné envie de le lire, je vous la livre : "cet auteur trop rare à l'écriture lyrique, le sens du détail et de l'accélération. Du très grand roman noir".

Car me connaissant, et ayant devant moi un week-end prolongé, et si Indriðason signe un grand roman comme à l'accoutumée, j'aurais probablement fini ma lecture dès dimanche soir, et je ne m'imagine pas sans autre livre à lire.

Sinon, je continue de bien rigoler en suivant les aventures des Working Girls sur Canal, ce qui me fait du bien, car les derniers épisodes des Desperate Housewives sont vraiment très tristes. Je ne dirais rien, mais on sent bien que la fin est proche. Voilà, sinon un ciné mardi soir et un autre ce week-end si le temps est trop pourri pour des vide-greniers et un tour dans mon ancien quartier pour aller voter.

Bon week-end !

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