Comme tout le monde, j'ai découvert Anne Berest en lisant son premier roman, La fille de son père. J'avais aimé le ton incisif, le dialogues et le style narratif de cette jeune romancière, aussi avais-je commandé au Papa Noël son nouveau roman, les Patriarches.
Que dire ? Sinon, une grosse déception. Je me suis littéralement forcée à lire les cent dernières pages. Cela m'arrive rarement, mais là je n'en pouvais plus.
Je ne reproche pas à l'auteur le choix de son découpage, très particulier mais réussi, ainsi le lecteur se trouve confronté à plusieurs narrateurs, si cela fonctionne bien dans la première partie, j'avoue que la dernière m'a énormément déçue. La romancière a en effet décidé de surprendre ses lecteurs en tuant l'héroïne à la fin de la première partie. J'aime être suprise, donc pourquoi pas ? Là, où le bat blesse, c'est que la romancière est incapable ensuite de tenir le lecteur en haleine, et de maintenir un rythme. La seconde partie est nettement inégale à la première.
Le lecteur entre dans la vie de Denise Maisse (ne vous fiez pas au prénom, elle a 23 ans), jeune femme névrosée, dépressive qui veut à tout prix dévoiler un mystère autour de la disparition pendant plusieurs mois de son père en 1985 alors qu'elle était enfant .... la suite par ici !
Le lecteur entre dans la vie de Denise Maisse (ne vous fiez pas au prénom, elle a 23 ans), jeune femme névrosée, dépressive qui veut à tout prix dévoiler un mystère autour de la disparition pendant plusieurs mois de son père en 1985 alors qu'elle était enfant .... la suite par ici !
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